Titre : |
La balle est dans ton camp |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Robert CORMIER (1925-2000), Auteur ; Christelle BECANT, Traducteur |
Editeur : |
Paris : L'Ecole des loisirs |
Année de publication : |
1994, 1995, 1999, 2000, 2004 |
Collection : |
Médium |
Importance : |
152 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
19 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-211-01797-8 |
Prix : |
6.40 € |
Note générale : |
Titre original: "Times for bears to dance to" |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Américain (ame) |
Index. décimale : |
820(73)-3 Roman américain traduit de la langue anglaise. (ou roman américain de langue anglaise avec CR 820(73)-3). |
Résumé : |
Henry ne s'est pas méfié assez tôt de M. Hairtson, l'épicier chez qui il travaille comme garçon à tout faire.
Il le trouvait seulement désagréable, médisant et un peu étrange. Et puis, de toute façon il voulait garder ce boulot parce que son salaire, si maigre soit-il, était le bienvenu à la maison, et aussi parce qu'il ne voulait plus passer ses journées seul avec un père muré dans la tristesse et le silence.
Mais il n'aurait rien fallu dire à M. Hairtson. Il n'aurait fallu se laisser aller à aucune confidence. Il n'aurait surtout pas fallu parler du vieil homme qui habite à l'asile d'aliénés.
Maintenant, Henry connaît le vrai visage de M. Hairtson mais il est trop tard. Il est prisonnier comme une souris en cage. |
La balle est dans ton camp [texte imprimé] / Robert CORMIER (1925-2000), Auteur ; Christelle BECANT, Traducteur . - Paris : L'Ecole des loisirs, 1994, 1995, 1999, 2000, 2004 . - 152 p. : couv. ill. ; 19 cm. - ( Médium) . ISBN : 978-2-211-01797-8 : 6.40 € Titre original: "Times for bears to dance to" Langues : Français ( fre) Langues originales : Américain ( ame)
Index. décimale : |
820(73)-3 Roman américain traduit de la langue anglaise. (ou roman américain de langue anglaise avec CR 820(73)-3). |
Résumé : |
Henry ne s'est pas méfié assez tôt de M. Hairtson, l'épicier chez qui il travaille comme garçon à tout faire.
Il le trouvait seulement désagréable, médisant et un peu étrange. Et puis, de toute façon il voulait garder ce boulot parce que son salaire, si maigre soit-il, était le bienvenu à la maison, et aussi parce qu'il ne voulait plus passer ses journées seul avec un père muré dans la tristesse et le silence.
Mais il n'aurait rien fallu dire à M. Hairtson. Il n'aurait fallu se laisser aller à aucune confidence. Il n'aurait surtout pas fallu parler du vieil homme qui habite à l'asile d'aliénés.
Maintenant, Henry connaît le vrai visage de M. Hairtson mais il est trop tard. Il est prisonnier comme une souris en cage. |
|