Titre : |
Rue de la Sardine |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
John STEINBECK (1902-1968), Auteur ; Magdeleine PAZ, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Gallimard |
Année de publication : |
1992 |
Collection : |
Folio num. 787 |
Importance : |
212 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-036787-0 |
Prix : |
4.90 € |
Note générale : |
Trad. de : "Cannery row" |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Américain (ame) |
Index. décimale : |
820(73)-3 Roman américain traduit de la langue anglaise. (ou roman américain de langue anglaise avec CR 820(73)-3). |
Résumé : |
La Rue de la Sardine, à Monterey en Californie, c'est un poème ; c'est du vacarme, de la puanteur, de la routine, c'est une certaine irisation de la lumière, une vibration particulière, c'est de la nostalgie, c'est du rêve. La Rue de la Sardine, c'est le chaos. Chaos de fer, d'étain. de rouille, de bouts de bois, de morceaux de pavés, de ronces, d'herbes folles, de boîtes au rebut, de restaurants, de mauvais lieux, d'épiceries bondées et de laboratoires. Ses habitants, a dit quelqu'un : " ce sont des filles, des souteneurs, des joueurs de cartes et des enfants de putains " ; ce quelqu'un eût-il regardé par l'autre bout de la lorgnette. il eût pu dire : " ce sont des saints, des anges et des martyrs ", et ce serait revenu au même. |
Rue de la Sardine [texte imprimé] / John STEINBECK (1902-1968), Auteur ; Magdeleine PAZ, Traducteur . - Paris : Gallimard, 1992 . - 212 p. : couv. ill. ; 18 cm. - ( Folio; 787) . ISBN : 978-2-07-036787-0 : 4.90 € Trad. de : "Cannery row" Langues : Français ( fre) Langues originales : Américain ( ame)
Index. décimale : |
820(73)-3 Roman américain traduit de la langue anglaise. (ou roman américain de langue anglaise avec CR 820(73)-3). |
Résumé : |
La Rue de la Sardine, à Monterey en Californie, c'est un poème ; c'est du vacarme, de la puanteur, de la routine, c'est une certaine irisation de la lumière, une vibration particulière, c'est de la nostalgie, c'est du rêve. La Rue de la Sardine, c'est le chaos. Chaos de fer, d'étain. de rouille, de bouts de bois, de morceaux de pavés, de ronces, d'herbes folles, de boîtes au rebut, de restaurants, de mauvais lieux, d'épiceries bondées et de laboratoires. Ses habitants, a dit quelqu'un : " ce sont des filles, des souteneurs, des joueurs de cartes et des enfants de putains " ; ce quelqu'un eût-il regardé par l'autre bout de la lorgnette. il eût pu dire : " ce sont des saints, des anges et des martyrs ", et ce serait revenu au même. |
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