Titre : |
Le Noeud de vipères |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
François MAURIAC (1885-1970), Auteur |
Editeur : |
Paris : Librairie Générale Française |
Année de publication : |
1933 |
Collection : |
Le Livre de Poche |
Importance : |
245 p. |
Présentation : |
couv.ill. en coul. |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
De la haine, de la colère, de l'aigreur : voilà tout le fiel dont dégouline le coeur du vieil homme qui meurt, et qui décrit celui-ci comme un "noeud de vipères [...] saturé de leur venin". Vingt-trois ans de haine silencieuse qui éclate dans la lettre qu'il laisse à sa famille : l'heure est venue de régler les comptes. D'accuser et de punir : vingt-trois ans plus tôt donc, il avait cru faire un mariage d'amour avec Isa, demoiselle Fondaudège, en même temps qu'il accédait enfin à la reconnaissance sociale. Mais très vite, Isa l'avait détrompé : elle avait épousé l'argent, et non l'homme. De là était née une haine permanente et indélébile : toute sa vie, il avait abominé chacun des membres de cette famille, jusqu'à ses propres enfants, qui le lui avaient bien rendu. Et à présent, il allait leur faire payer toutes ces années, en les privant de l'héritage sans lequel ils ne pourraient pas vivre. |
Le Noeud de vipères [texte imprimé] / François MAURIAC (1885-1970), Auteur . - Paris : Librairie Générale Française, 1933 . - 245 p. : couv.ill. en coul.. - ( Le Livre de Poche) . Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
De la haine, de la colère, de l'aigreur : voilà tout le fiel dont dégouline le coeur du vieil homme qui meurt, et qui décrit celui-ci comme un "noeud de vipères [...] saturé de leur venin". Vingt-trois ans de haine silencieuse qui éclate dans la lettre qu'il laisse à sa famille : l'heure est venue de régler les comptes. D'accuser et de punir : vingt-trois ans plus tôt donc, il avait cru faire un mariage d'amour avec Isa, demoiselle Fondaudège, en même temps qu'il accédait enfin à la reconnaissance sociale. Mais très vite, Isa l'avait détrompé : elle avait épousé l'argent, et non l'homme. De là était née une haine permanente et indélébile : toute sa vie, il avait abominé chacun des membres de cette famille, jusqu'à ses propres enfants, qui le lui avaient bien rendu. Et à présent, il allait leur faire payer toutes ces années, en les privant de l'héritage sans lequel ils ne pourraient pas vivre. |
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