Titre : |
Les incandescentes : roman |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
TUDOR, C. J., Auteur ; ELIROFF, Thibaud, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Pygmalion |
Année de publication : |
2022 |
Importance : |
495 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-08-024963-0 |
Prix : |
22,90 € |
Note générale : |
Trad. de : "The burning girls" |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) |
Index. décimale : |
820-3 Roman traduit de la langue anglaise. [ou roman de langue anglaise avec CR 820-3]. |
Résumé : |
Il y a cinq cents ans : huit villageois ont été brûlés sur le bûcher.Il y a trente ans : deux adolescentes ont disparu sans laisser de traces.Il y a deux mois : le vicaire s'est suicidé.Bienvenue à Chapel Croft.Pour le révérend Jack Brooks et sa fille Flo, c'est censé être un nouveau départ. Mais au sein de cette petite communauté unie, imprégnée de superstitions anciennes, la méfiance envers les étrangers est difficile à surmonter. Les secrets du village sont aussi profonds et sombres que la tombe. Et les vieux fantômes qui ont des comptes à régler ne se reposent jamais... |
Les incandescentes : roman [texte imprimé] / TUDOR, C. J., Auteur ; ELIROFF, Thibaud, Traducteur . - Paris : Pygmalion, 2022 . - 495 p. : couv. ill. ; 21 cm. ISBN : 978-2-08-024963-0 : 22,90 € Trad. de : "The burning girls" Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng)
Index. décimale : |
820-3 Roman traduit de la langue anglaise. [ou roman de langue anglaise avec CR 820-3]. |
Résumé : |
Il y a cinq cents ans : huit villageois ont été brûlés sur le bûcher.Il y a trente ans : deux adolescentes ont disparu sans laisser de traces.Il y a deux mois : le vicaire s'est suicidé.Bienvenue à Chapel Croft.Pour le révérend Jack Brooks et sa fille Flo, c'est censé être un nouveau départ. Mais au sein de cette petite communauté unie, imprégnée de superstitions anciennes, la méfiance envers les étrangers est difficile à surmonter. Les secrets du village sont aussi profonds et sombres que la tombe. Et les vieux fantômes qui ont des comptes à régler ne se reposent jamais... |
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