Titre : |
Electre : pièce en deux actes |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean GIRAUDOUX (1882-1944), Auteur ; françoise LETOUBLON, Éditeur scientifique ; Marie-Odile BOUCRIS, Éditeur scientifique ; Agnès GUINCHARD, Éditeur scientifique |
Editeur : |
Paris : Larousse |
Année de publication : |
DL 2008 |
Collection : |
Petits classiques Larousse num. 22 |
Importance : |
286 p. |
Présentation : |
ill. en coul., couv. ill. en coul. |
Format : |
17 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-03-584263-3 |
Prix : |
3,95 € |
Note générale : |
Bibliogr. p. 285-288 |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-2 Pièce de théâtre de langue française. |
Résumé : |
Puisant aux sources de la mythologie antique, avec en miroir la situation de l’Europe en 1937, Jean Giraudoux donne au personnage d’Électre une force dramatique incomparable. Pour venger le meurtre de son père Agamemnon, Électre arme le bras de son frère Oreste et va préférer le saccage de sa ville au sursis réclamé par Égisthe. Entre l’ordre et la justice, elle choisira la justice. Sur les cendres d’Argos, le jour se lève : « Cela s’appelle l’aurore », dit le mendiant, prophète sublime et dérisoire. |
Electre : pièce en deux actes [texte imprimé] / Jean GIRAUDOUX (1882-1944), Auteur ; françoise LETOUBLON, Éditeur scientifique ; Marie-Odile BOUCRIS, Éditeur scientifique ; Agnès GUINCHARD, Éditeur scientifique . - Paris : Larousse, DL 2008 . - 286 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 17 cm. - ( Petits classiques Larousse; 22) . ISBN : 978-2-03-584263-3 : 3,95 € Bibliogr. p. 285-288 Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-2 Pièce de théâtre de langue française. |
Résumé : |
Puisant aux sources de la mythologie antique, avec en miroir la situation de l’Europe en 1937, Jean Giraudoux donne au personnage d’Électre une force dramatique incomparable. Pour venger le meurtre de son père Agamemnon, Électre arme le bras de son frère Oreste et va préférer le saccage de sa ville au sursis réclamé par Égisthe. Entre l’ordre et la justice, elle choisira la justice. Sur les cendres d’Argos, le jour se lève : « Cela s’appelle l’aurore », dit le mendiant, prophète sublime et dérisoire. |
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