Titre : |
Après la vague |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Oriane CHARPENTIER, Auteur |
Editeur : |
Paris : Gallimard Jeunesse |
Année de publication : |
DL 2017 |
Collection : |
Pôle fiction num. 103 |
Importance : |
148 p. |
Présentation : |
couv. ill. coul. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-508265-5 |
Prix : |
4,90 € |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
TSUNAMI |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Il fait beau, à la terrasse de l'hôtel. On discute d'un temple à visiter. Maxime n'a aucune envie de bouger. Il préfère profiter de la plage avec Jade, sa sœur jumelle. Plus tard, une vague apparaît, qui n'en finit pas de grossir. Dans leur fuite désespérée, Jade lâche la main de son frère. Pour Max, il n'y a plus de mots. Plus d'avenir.
La reconstruction d'un adolescent frappé par le tsunami de 2004. Sensible et bouleversant.
"Je n'ai pas seulement voulu parler du tsunami, de la perte et du deuil; j'ai voulu évoquer la vie, les vagues de la vie. Celles qui nous jettent à terre, dont on se relève différents – avec des fêlures, mais plus présents au monde. Plus vivants." Orianne Charpentier |
Après la vague [texte imprimé] / Oriane CHARPENTIER, Auteur . - Paris : Gallimard Jeunesse, DL 2017 . - 148 p. : couv. ill. coul.. - ( Pôle fiction; 103) . ISBN : 978-2-07-508265-5 : 4,90 € Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
TSUNAMI |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Il fait beau, à la terrasse de l'hôtel. On discute d'un temple à visiter. Maxime n'a aucune envie de bouger. Il préfère profiter de la plage avec Jade, sa sœur jumelle. Plus tard, une vague apparaît, qui n'en finit pas de grossir. Dans leur fuite désespérée, Jade lâche la main de son frère. Pour Max, il n'y a plus de mots. Plus d'avenir.
La reconstruction d'un adolescent frappé par le tsunami de 2004. Sensible et bouleversant.
"Je n'ai pas seulement voulu parler du tsunami, de la perte et du deuil; j'ai voulu évoquer la vie, les vagues de la vie. Celles qui nous jettent à terre, dont on se relève différents – avec des fêlures, mais plus présents au monde. Plus vivants." Orianne Charpentier |
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