Titre : |
Acide sulfurique : roman |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Amélie (Belge) NOTHOMB (1967-....), Auteur belge |
Editeur : |
Paris : Librairie Générale Française |
Année de publication : |
impr. 2007, 2019 |
Collection : |
Le Livre de Poche num. 30796 |
Importance : |
212 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-253-12118-3 |
Prix : |
7.10 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
Résumé : |
Acide sulfurique raconte l’histoire d’une émission de télé réalité d’un genre extrême. Intitulée Concentration, elle met en scène des individus qui ont été raflés dans des lieux publics et qu’on parque dans un camp de concentration. Les prisonniers sont gardés par des kapos, eux-mêmes des citoyens ordinaires également mais qui, à la différence des victimes, ont postulé pour obtenir ce rôle. Ces kapos encadrent les prisonniers et les soumettent à diverses réprimandes et brimades. Ce sont ces mêmes kapos qui ont entre leurs mains la vie des prisonniers. En effet chaque jour, les gardiens désignent deux personnes qui sont envoyées à la mort. |
Acide sulfurique : roman [texte imprimé] / Amélie (Belge) NOTHOMB (1967-....), Auteur belge . - Paris : Librairie Générale Française, impr. 2007, 2019 . - 212 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Le Livre de Poche; 30796) . ISBN : 978-2-253-12118-3 : 7.10 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
Résumé : |
Acide sulfurique raconte l’histoire d’une émission de télé réalité d’un genre extrême. Intitulée Concentration, elle met en scène des individus qui ont été raflés dans des lieux publics et qu’on parque dans un camp de concentration. Les prisonniers sont gardés par des kapos, eux-mêmes des citoyens ordinaires également mais qui, à la différence des victimes, ont postulé pour obtenir ce rôle. Ces kapos encadrent les prisonniers et les soumettent à diverses réprimandes et brimades. Ce sont ces mêmes kapos qui ont entre leurs mains la vie des prisonniers. En effet chaque jour, les gardiens désignent deux personnes qui sont envoyées à la mort. |
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