Titre : |
Les vies de papier |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Rabih ALAMEDDINE, Auteur ; RICHARD, Nicolas (1963-....), Traducteur |
Editeur : |
Paris [FRANCE] : 10/18 (Union Générale d'Editions-UGE) |
Année de publication : |
DL 2017 |
Collection : |
10/18 num. 5269 |
Importance : |
355 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-264-06996-2 |
Prix : |
9,35 € |
Note générale : |
Trad. de: "An unnecessary woman". - Prix Femina Etranger 2016 |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
820-3 Roman traduit de la langue anglaise. [ou roman de langue anglaise avec CR 820-3]. |
Résumé : |
Aaliya Saleh, 72 ans, les cheveux bleus, a toujours refusé les carcans imposés par la société libanaise. Cette femme irrévérencieuse et un brin obsessionnelle traduit en arabe les œuvres de ses romanciers préférés : Kafka, Pessoa ou Nabokov. À la fois refuge et " plaisir aveugle ", la littérature est l'air qu'elle respire. Cheminant dans les rues, Aaliya se souvient ; de l'odeur de sa librairie, des conversations avec son amie Hannah, de ses lectures à la lueur de la bougie tandis que la guerre faisait rage, de la ville en feu, de l'imprévisibilité de Beyrouth. |
Les vies de papier [texte imprimé] / Rabih ALAMEDDINE, Auteur ; RICHARD, Nicolas (1963-....), Traducteur . - Paris [FRANCE] : 10/18 (Union Générale d'Editions-UGE), DL 2017 . - 355 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( 10/18; 5269) . ISBN : 978-2-264-06996-2 : 9,35 € Trad. de: "An unnecessary woman". - Prix Femina Etranger 2016 Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
820-3 Roman traduit de la langue anglaise. [ou roman de langue anglaise avec CR 820-3]. |
Résumé : |
Aaliya Saleh, 72 ans, les cheveux bleus, a toujours refusé les carcans imposés par la société libanaise. Cette femme irrévérencieuse et un brin obsessionnelle traduit en arabe les œuvres de ses romanciers préférés : Kafka, Pessoa ou Nabokov. À la fois refuge et " plaisir aveugle ", la littérature est l'air qu'elle respire. Cheminant dans les rues, Aaliya se souvient ; de l'odeur de sa librairie, des conversations avec son amie Hannah, de ses lectures à la lueur de la bougie tandis que la guerre faisait rage, de la ville en feu, de l'imprévisibilité de Beyrouth. |
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