Titre : |
Le misanthrope : comédie... |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
né Jean-Baptiste Poquelin MOLIERE (1622-1673), Auteur |
Editeur : |
Paris : Librio |
Année de publication : |
DL 2015 |
Collection : |
Librio Théâtre num. 647 |
Importance : |
94 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-290-11033-1 |
Prix : |
2,00 € |
Note générale : |
En appendice : "la scène à jouer". Nouvelle édition (23ème édition). |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
scène à jouer théâtre |
Index. décimale : |
840-2 Pièce de théâtre de langue française. |
Résumé : |
«Et c'est n'estimer rien qu'estimer tout le monde.» Rompre avec le monde : telle est la volonté d'Alceste. Contre l'insignifiance et l'hypocrisie de la société courtisane, il prend le parti de la transparence et de l'honnêteté des coeurs. Idéal archaïque pour une noblesse déjà rompue aux compromis de la vie mondaine... Alceste s'en moque : il fustige Oronte, le mauvais poète, sans tenir compte des convenances. Mais pour son plus grand malheur, il est également fou de Célimène, reine des salons, veuve coquette et médisante fiévreuse. De cette situation paradoxale naît la comédie : de fâcheries en rodomontades, le ridicule ne tarde pas à rattraper ce misanthrope excessif, emporté et désespérément amoureux... |
Le misanthrope : comédie... [texte imprimé] / né Jean-Baptiste Poquelin MOLIERE (1622-1673), Auteur . - Paris : Librio, DL 2015 . - 94 p. : couv. ill. en coul. ; 21 cm. - ( Librio Théâtre; 647) . ISBN : 978-2-290-11033-1 : 2,00 € En appendice : "la scène à jouer". Nouvelle édition (23ème édition). Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
scène à jouer théâtre |
Index. décimale : |
840-2 Pièce de théâtre de langue française. |
Résumé : |
«Et c'est n'estimer rien qu'estimer tout le monde.» Rompre avec le monde : telle est la volonté d'Alceste. Contre l'insignifiance et l'hypocrisie de la société courtisane, il prend le parti de la transparence et de l'honnêteté des coeurs. Idéal archaïque pour une noblesse déjà rompue aux compromis de la vie mondaine... Alceste s'en moque : il fustige Oronte, le mauvais poète, sans tenir compte des convenances. Mais pour son plus grand malheur, il est également fou de Célimène, reine des salons, veuve coquette et médisante fiévreuse. De cette situation paradoxale naît la comédie : de fâcheries en rodomontades, le ridicule ne tarde pas à rattraper ce misanthrope excessif, emporté et désespérément amoureux... |
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