Titre : |
Les vies de papier |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Rabih ALAMEDDINE, Auteur |
Editeur : |
Paris : Les Escales |
Année de publication : |
2016 |
Importance : |
329 p. |
Format : |
23 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-36569-206-9 |
Prix : |
21 € |
Note générale : |
Prix Femina étranger 2016 |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
820-3 Roman traduit de la langue anglaise. [ou roman de langue anglaise avec CR 820-3]. |
Résumé : |
Aaliya Saleh, 72 ans, les cheveux bleus, a toujours refusé les carcans imposés par la société libanaise. À l'ombre des murs anciens de son appartement, elle s'apprête pour son rituel préféré. Chaque année, le 1er janvier, après avoir allumé deux bougies pour Walter Benjamin, cette femme irrévérencieuse et un brin obsessionnelle commence à traduire en arabe l'une des œuvres de ses romanciers préférés : Kafka, Pessoa ou Nabokov.
À la fois refuge et " plaisir aveugle ", la littérature est l'air qu'elle respire, celui qui la fait vibrer comme cet opus de Chopin qu'elle ne cesse d'écouter. C'est eentourée de livres, de cartons remplis de papiers, de feuilles volantes de ses traductions qu'Aaliya se sent vivante.
Cheminant dans les rues, Aaliya se souvient ; de l'odeur de sa librairie, des conversations avec son amie Hannah, de ses lectures à la lueur de la bougie tandis que la guerre faisait rage, de la ville en feu, de l'imprévisibilité de Beyrouth. |
Les vies de papier [texte imprimé] / Rabih ALAMEDDINE, Auteur . - Paris : Les Escales, 2016 . - 329 p. ; 23 cm. ISBN : 978-2-36569-206-9 : 21 € Prix Femina étranger 2016 Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
820-3 Roman traduit de la langue anglaise. [ou roman de langue anglaise avec CR 820-3]. |
Résumé : |
Aaliya Saleh, 72 ans, les cheveux bleus, a toujours refusé les carcans imposés par la société libanaise. À l'ombre des murs anciens de son appartement, elle s'apprête pour son rituel préféré. Chaque année, le 1er janvier, après avoir allumé deux bougies pour Walter Benjamin, cette femme irrévérencieuse et un brin obsessionnelle commence à traduire en arabe l'une des œuvres de ses romanciers préférés : Kafka, Pessoa ou Nabokov.
À la fois refuge et " plaisir aveugle ", la littérature est l'air qu'elle respire, celui qui la fait vibrer comme cet opus de Chopin qu'elle ne cesse d'écouter. C'est eentourée de livres, de cartons remplis de papiers, de feuilles volantes de ses traductions qu'Aaliya se sent vivante.
Cheminant dans les rues, Aaliya se souvient ; de l'odeur de sa librairie, des conversations avec son amie Hannah, de ses lectures à la lueur de la bougie tandis que la guerre faisait rage, de la ville en feu, de l'imprévisibilité de Beyrouth. |
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