Titre : |
Ma mère avait raison |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Alexandre JARDIN (1965-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : Grasset |
Année de publication : |
2017 |
Importance : |
214 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-246-86378-6 |
Prix : |
20,75 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Ce roman vrai est la pierre d’angle de la grande saga des Jardin. Après le portrait du père merveilleux (Le Zubial), du sombre grand-père (Des gens très bien), du clan bizarre et fantasque (Le roman des Jardin), voici l’histoire de la mère d’Alexandre. On y découvre une femme hors norme, qui ose tout, et qui s’impose comme l’antidote absolu de notre siècle timoré.
Elle est dans les yeux de son fils l’héroïne-née, la tisseuse d’aventures, l’inspiratrice des hommes, la source jaillissante de mille questions – elle est le roman-même.
Un roman qui questionne, affole, vivifie et rejoint la joie du fils. Mais la magicienne, hélas, n’est pas éternelle.
Certaines femmes, pourtant, ne devraient jamais mourir. |
Ma mère avait raison [texte imprimé] / Alexandre JARDIN (1965-....), Auteur . - Paris : Grasset, 2017 . - 214 p. : couv. ill. ; 21 cm. ISBN : 978-2-246-86378-6 : 20,75 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Ce roman vrai est la pierre d’angle de la grande saga des Jardin. Après le portrait du père merveilleux (Le Zubial), du sombre grand-père (Des gens très bien), du clan bizarre et fantasque (Le roman des Jardin), voici l’histoire de la mère d’Alexandre. On y découvre une femme hors norme, qui ose tout, et qui s’impose comme l’antidote absolu de notre siècle timoré.
Elle est dans les yeux de son fils l’héroïne-née, la tisseuse d’aventures, l’inspiratrice des hommes, la source jaillissante de mille questions – elle est le roman-même.
Un roman qui questionne, affole, vivifie et rejoint la joie du fils. Mais la magicienne, hélas, n’est pas éternelle.
Certaines femmes, pourtant, ne devraient jamais mourir. |
|