Titre : |
Les passants de Lisbonne |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Philippe BESSON (1967-....), Auteur |
Editeur : |
Paris [FRANCE] : 10/18 (Union Générale d'Editions-UGE) |
Année de publication : |
DL 2017 |
Collection : |
10/18 num. 5166 |
Importance : |
165 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-264-07056-2 |
Prix : |
8 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Hélène a vu en direct à la télévision les images d'un tremblement de terre dévastateur dans une ville lointaine ; son mari séjournait là-bas, à ce moment précis. Mathieu, quant à lui, a trouvé un jour dans un appartement vide une lettre de rupture. Ces deux-là, qui ne se connaissent pas, vont se rencontrer par hasard à Lisbonne. Et se parler. Une seule question les taraude : comment affronter la disparition de l'être aimé ? Et le manque ? Au fil de leurs déambulations dans cette ville mélancolique, dont la fameuse saudade imprègne chacune des ruelles tortueuses, ne cherchent-ils pas à panser leurs blessures et à s'intéresser, de nouveau, aux vivants ? |
Les passants de Lisbonne [texte imprimé] / Philippe BESSON (1967-....), Auteur . - Paris [FRANCE] : 10/18 (Union Générale d'Editions-UGE), DL 2017 . - 165 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( 10/18; 5166) . ISBN : 978-2-264-07056-2 : 8 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Hélène a vu en direct à la télévision les images d'un tremblement de terre dévastateur dans une ville lointaine ; son mari séjournait là-bas, à ce moment précis. Mathieu, quant à lui, a trouvé un jour dans un appartement vide une lettre de rupture. Ces deux-là, qui ne se connaissent pas, vont se rencontrer par hasard à Lisbonne. Et se parler. Une seule question les taraude : comment affronter la disparition de l'être aimé ? Et le manque ? Au fil de leurs déambulations dans cette ville mélancolique, dont la fameuse saudade imprègne chacune des ruelles tortueuses, ne cherchent-ils pas à panser leurs blessures et à s'intéresser, de nouveau, aux vivants ? |
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