Titre : |
Chien |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Samuel BENCHETRIT (1973-...), Auteur |
Editeur : |
Paris : Grasset |
Année de publication : |
2015 |
Importance : |
281 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-246-80457-4 |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
« Je ne pouvais pas trop regarder mon fils jouer avec le chien de notre petite voisine parce que ma femme me parlait :
― La peau me brûle, je perds mes cheveux et mes ongles jaunissent. Je suis allée consulter un spécialiste, le docteur Zenger, et figure-toi qu’il a fini par trouver la cause de cette maladie… Tu veux connaître la cause, Jacques ?
― Oui.
― C’est toi… C’est toi, Jacques !
― Moi ?
― Oui. D’ailleurs, tu apprendras que désormais cette maladie porte ton nom, c’est une Blanchoïte aiguë. (Je m’appelle Jacques Blanchot.) Pour le moment, il n’y a rien à faire pour la soigner. Ni traitement. Ni crème. Alors… il faudrait que tu partes.
― Quand ça ?
― Maintenant… »
Bienvenue dans le roman le plus déjanté, drôle, tendre et cruel de notre monde contemporain où « l’homme est un chien pour l’homme ». |
Chien [texte imprimé] / Samuel BENCHETRIT (1973-...), Auteur . - Paris : Grasset, 2015 . - 281 p. : couv. ill. ; 21 cm. ISBN : 978-2-246-80457-4 Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
« Je ne pouvais pas trop regarder mon fils jouer avec le chien de notre petite voisine parce que ma femme me parlait :
― La peau me brûle, je perds mes cheveux et mes ongles jaunissent. Je suis allée consulter un spécialiste, le docteur Zenger, et figure-toi qu’il a fini par trouver la cause de cette maladie… Tu veux connaître la cause, Jacques ?
― Oui.
― C’est toi… C’est toi, Jacques !
― Moi ?
― Oui. D’ailleurs, tu apprendras que désormais cette maladie porte ton nom, c’est une Blanchoïte aiguë. (Je m’appelle Jacques Blanchot.) Pour le moment, il n’y a rien à faire pour la soigner. Ni traitement. Ni crème. Alors… il faudrait que tu partes.
― Quand ça ?
― Maintenant… »
Bienvenue dans le roman le plus déjanté, drôle, tendre et cruel de notre monde contemporain où « l’homme est un chien pour l’homme ». |
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