Titre : |
Vieux, râleur et suicidaire : la vie selon Ove : roman |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Fredrik BACKMAN (1981-....), Auteur ; Laurence MENNERICH, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Pocket |
Année de publication : |
2014 |
Collection : |
Pocket num. 16180 |
Importance : |
378 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-266-25476-2 |
Prix : |
8,50 € |
Note générale : |
Trad. de: "En man som heter Over" |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Suédois (swe) |
Index. décimale : |
839.7-3 Roman traduit de la langue suédoise. |
Résumé : |
Dans le lotissement où il vit depuis quarante ans, Ove est connu pour être un râleur de la pire espèce. Enfermé dans sa routine maniaque, à cheval sur ses principes, il se méfie de tout et de tous. Depuis la mort de sa femme et son licenciement, tous les matins, il inspecte le quartier, peste contre les automobilistes, et cherche le meilleur moyen de se suicider. Le problème : un chat pelé et une tripotée de nouveaux voisins semblent bien décidés à ne pas le laisser mourir en paix... " Péripéties en cascade et dialogues décalés. " Le Figaro littéraire |
Vieux, râleur et suicidaire : la vie selon Ove : roman [texte imprimé] / Fredrik BACKMAN (1981-....), Auteur ; Laurence MENNERICH, Traducteur . - Paris : Pocket, 2014 . - 378 p. : couv. ill. en coul.. - ( Pocket; 16180) . ISBN : 978-2-266-25476-2 : 8,50 € Trad. de: "En man som heter Over" Langues : Français ( fre) Langues originales : Suédois ( swe)
Index. décimale : |
839.7-3 Roman traduit de la langue suédoise. |
Résumé : |
Dans le lotissement où il vit depuis quarante ans, Ove est connu pour être un râleur de la pire espèce. Enfermé dans sa routine maniaque, à cheval sur ses principes, il se méfie de tout et de tous. Depuis la mort de sa femme et son licenciement, tous les matins, il inspecte le quartier, peste contre les automobilistes, et cherche le meilleur moyen de se suicider. Le problème : un chat pelé et une tripotée de nouveaux voisins semblent bien décidés à ne pas le laisser mourir en paix... " Péripéties en cascade et dialogues décalés. " Le Figaro littéraire |
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