Titre : |
Le quatrième mur |
Type de document : |
enregistrement sonore non musical |
Auteurs : |
Sorj CHALANDON (1952-....), Auteur ; Féodor ATKINE, Interprète |
Editeur : |
Paris : Audiolib |
Année de publication : |
2014 |
Importance : |
1 CD MP3; durée 9h10min |
Présentation : |
couv. ill. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-35641-711-4 |
Prix : |
20.90 € |
Note générale : |
Enregistrement découpé en 42 plages. Plage 43: lecture d'un court extrait par l'auteur. Plage 44: entretien de 32 minutes avec l'auteur.
Prix Goncourt des lycéens. |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
« L'idée de Sam était belle et folle : monter l'Antigone de Jean Anouilh à Beyrouth. Voler deux heures à la guerre, en prélevant dans chaque camp un fils ou une fille pour en faire des acteurs. Puis rassembler ces ennemis sur une scène de fortune, entre cour détruite et jardin saccagé. Samuel était grec. Juif, aussi. Mon frère en quelque sorte. Un jour, il m'a demandé de participer à cette trêve poétique. Il me l'a fait promettre, à moi, petit théâtreux de patronnage. Et je lui ai dit oui. Je suis allé à Beyrouth le 10 février 1982, main tendue à la paix. Avant que la guerre ne m'offre brutalement la sienne... » |
Le quatrième mur [enregistrement sonore non musical] / Sorj CHALANDON (1952-....), Auteur ; Féodor ATKINE, Interprète . - Paris : Audiolib, 2014 . - 1 CD MP3; durée 9h10min : couv. ill. ISBN : 978-2-35641-711-4 : 20.90 € Enregistrement découpé en 42 plages. Plage 43: lecture d'un court extrait par l'auteur. Plage 44: entretien de 32 minutes avec l'auteur.
Prix Goncourt des lycéens. Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
« L'idée de Sam était belle et folle : monter l'Antigone de Jean Anouilh à Beyrouth. Voler deux heures à la guerre, en prélevant dans chaque camp un fils ou une fille pour en faire des acteurs. Puis rassembler ces ennemis sur une scène de fortune, entre cour détruite et jardin saccagé. Samuel était grec. Juif, aussi. Mon frère en quelque sorte. Un jour, il m'a demandé de participer à cette trêve poétique. Il me l'a fait promettre, à moi, petit théâtreux de patronnage. Et je lui ai dit oui. Je suis allé à Beyrouth le 10 février 1982, main tendue à la paix. Avant que la guerre ne m'offre brutalement la sienne... » |
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