Titre : |
Visions de Bob Dylan |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Zeno BIANU (1950-....), Auteur |
Editeur : |
Pantin : Le Castor Astral |
Année de publication : |
2014 |
Importance : |
103 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-85920-988-9 |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-1 Poésie de langue française. CR 8-1 |
Résumé : |
Avec ce nouvel opus, Visions de Bob Dylan, Zéno Bianu s’attache à dresser le « portrait poétique » d’un auteur-compositeur majeur du XXe siècle qui a toujours revendiqué la poésie comme la clé même de son œuvre. Héritier direct de la Beat generation (et reconnu comme tel par Allen Ginsberg et Jack Kerouac), lecteur assidu de William Blake, de Walt Whitman et de Dylan Thomas, rimbaldien fervent, Dylan n’a cessé de considérer la poésie comme une pensée qui chante et de composer ses chansons, en Orphée moderne au phrasé inimitable, comme des “poèmes-musiques” inséparables.
Les essais sur Dylan se comptent certes par dizaines, (et non des moindres, de Greil Marcus à Sam Shepard), mais Zéno Bianu est le premier à tenter de faire « œuvre originale de poésie » (pour reprendre Ungaretti) à partir de la trajectoire de Dylan, homme de parole s’il en est.
Habité depuis maintenant un demi-siècle par une urgence créative sidérante, Dylan n’a cessé de se métamorphoser, de se réinventer au cours des albums et des décennies, percevant et vivant la poésie comme une forme ultime d’engagement existentiel, ouvrant, tel un disciple électrique de William Blake, un espace visionnaire où la vie et la langue ne cessent de résonner ensemble. |
Visions de Bob Dylan [texte imprimé] / Zeno BIANU (1950-....), Auteur . - Pantin : Le Castor Astral, 2014 . - 103 p. : couv. ill. ; 21 cm. ISBN : 978-2-85920-988-9 Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-1 Poésie de langue française. CR 8-1 |
Résumé : |
Avec ce nouvel opus, Visions de Bob Dylan, Zéno Bianu s’attache à dresser le « portrait poétique » d’un auteur-compositeur majeur du XXe siècle qui a toujours revendiqué la poésie comme la clé même de son œuvre. Héritier direct de la Beat generation (et reconnu comme tel par Allen Ginsberg et Jack Kerouac), lecteur assidu de William Blake, de Walt Whitman et de Dylan Thomas, rimbaldien fervent, Dylan n’a cessé de considérer la poésie comme une pensée qui chante et de composer ses chansons, en Orphée moderne au phrasé inimitable, comme des “poèmes-musiques” inséparables.
Les essais sur Dylan se comptent certes par dizaines, (et non des moindres, de Greil Marcus à Sam Shepard), mais Zéno Bianu est le premier à tenter de faire « œuvre originale de poésie » (pour reprendre Ungaretti) à partir de la trajectoire de Dylan, homme de parole s’il en est.
Habité depuis maintenant un demi-siècle par une urgence créative sidérante, Dylan n’a cessé de se métamorphoser, de se réinventer au cours des albums et des décennies, percevant et vivant la poésie comme une forme ultime d’engagement existentiel, ouvrant, tel un disciple électrique de William Blake, un espace visionnaire où la vie et la langue ne cessent de résonner ensemble. |
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