Titre : |
Bye bye Elvis : roman |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Caroline (Belge) DE MULDER (1976-....), Auteur belge |
Editeur : |
Arles : Actes Sud |
Année de publication : |
impr. 2014 |
Importance : |
283 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-330-03594-5 |
Prix : |
20 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
Résumé : |
Graceland, 16 août 1977, Elvis Presley disparaît et laisse derrière lui des millions d’adorateurs éperdus. Crépuscule du Roi du Rock. Jusqu’à la fin, la longue fréquentation du désastre ne lui avait pas fait perdre toute sa candeur.
Dix-sept ans plus tard, Yvonne entre au service de John White, un vieil Américain au physique fragile. Elle va passer vingt ans à ses côtés, tissant une relation de dépendance avec cet homme dont elle ne sait rien et qu’elle s’efforce de sauver d’une fin misérable. La vie de White et celle d’Elvis s’entrelacent, dessinant des créatures identiques dans leur difformité et leur isolement. Entre les deux, il est possible qu’un lien existe – à moins qu’ils ne se soient croisés que dans ce roman… |
Bye bye Elvis : roman [texte imprimé] / Caroline (Belge) DE MULDER (1976-....), Auteur belge . - Arles : Actes Sud, impr. 2014 . - 283 p. : couv. ill. en coul. ; 22 cm. ISBN : 978-2-330-03594-5 : 20 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
Résumé : |
Graceland, 16 août 1977, Elvis Presley disparaît et laisse derrière lui des millions d’adorateurs éperdus. Crépuscule du Roi du Rock. Jusqu’à la fin, la longue fréquentation du désastre ne lui avait pas fait perdre toute sa candeur.
Dix-sept ans plus tard, Yvonne entre au service de John White, un vieil Américain au physique fragile. Elle va passer vingt ans à ses côtés, tissant une relation de dépendance avec cet homme dont elle ne sait rien et qu’elle s’efforce de sauver d’une fin misérable. La vie de White et celle d’Elvis s’entrelacent, dessinant des créatures identiques dans leur difformité et leur isolement. Entre les deux, il est possible qu’un lien existe – à moins qu’ils ne se soient croisés que dans ce roman… |
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