Titre : |
Rien à voir avec une autre histoire... |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Griselda GAMBARO (1928-....), Auteur ; Laure BATAILLON, Traducteur ; Isabelle DESSOMMES, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Seuil |
Année de publication : |
1987 |
Collection : |
Points num. V52 |
Importance : |
127 p. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-02-009554-9 |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
860-3 Roman traduit de la langue espagnole. |
Résumé : |
"Mon maître m'a emmené dans un café sordide, pas celui du coin, qui était décoré d'azulejos et de réclames de pizzas, mais un petit bar crasseux, plein de fumée, de filles et de garçons qui clopaient comme des cheminées. "Voilà Toni", a dit le maître en guise de présentation. (...) "Où l'as-tu déniché ?" a demandé l'un d'eux, puis il a ajouté : "On t'a fabriqué au mètre ?". JUe me suis tourné vers l'auteur de mes jours, en m'attendant à ce qu'il explique : "Il est fait maison. J'ai suivi la tradition", mais il a souri amicalement et m'a tapé sur l'épaule : "Assieds-toi, Toni." A mon avis, il avait oublié mes origines et, sur le coup, je n'ai pas su s'il fallait lui en être reconnaissant ou pas. Je vivais ma propre vie, détaché de mon père..."
|
Rien à voir avec une autre histoire... [texte imprimé] / Griselda GAMBARO (1928-....), Auteur ; Laure BATAILLON, Traducteur ; Isabelle DESSOMMES, Traducteur . - Paris : Seuil, 1987 . - 127 p. ; 18 cm. - ( Points; V52) . ISBN : 978-2-02-009554-9 Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
860-3 Roman traduit de la langue espagnole. |
Résumé : |
"Mon maître m'a emmené dans un café sordide, pas celui du coin, qui était décoré d'azulejos et de réclames de pizzas, mais un petit bar crasseux, plein de fumée, de filles et de garçons qui clopaient comme des cheminées. "Voilà Toni", a dit le maître en guise de présentation. (...) "Où l'as-tu déniché ?" a demandé l'un d'eux, puis il a ajouté : "On t'a fabriqué au mètre ?". JUe me suis tourné vers l'auteur de mes jours, en m'attendant à ce qu'il explique : "Il est fait maison. J'ai suivi la tradition", mais il a souri amicalement et m'a tapé sur l'épaule : "Assieds-toi, Toni." A mon avis, il avait oublié mes origines et, sur le coup, je n'ai pas su s'il fallait lui en être reconnaissant ou pas. Je vivais ma propre vie, détaché de mon père..."
|
|