Titre : |
Piège pour un tankiste : roman |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Roger (Belge) MARQUET (1945-....), Auteur |
Editeur : |
Tenneville : Memory Press |
Année de publication : |
2014 |
Importance : |
256 p. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-87413-195-0 |
Prix : |
18 € |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
guerre |
Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
Résumé : |
Pièges pour un tankiste : avoir 20 ans, être soldat américain, débarquer en Normandie, puis rouler par camions et/ou tanks jusque la région de Bastogne, pour se retrouver en première ligne des combats, délivrer l'Europe de l'ennemi allemand et terminer cette guerre qui dure depuis quatre longues années, est-ce le hasard ou la folie des hommes ? « La peur et l'envie d'en découdre » !
La Bataille des Ardennes – oui, encore et toujours elle, mais ! - vue, vécue de l'intérieur par un jeune G.I., avec toutes les vicissitudes inhérentes à cette dernière offensive nazie, et les horreurs toujours générées en pareille situation. Ce récit, adroitement construit, rassemble sur un seul homme, Ted, ce qui est arrivé à nombre d'entre eux, de façon « séparée », mais rien n'est à jeter : émotions, peurs, blessures, drames, découragements, espérances de courrier de la famille ou de « l'amoureuse », attentes interminables, froid glacial, obéissance absolue aux ordres, même si ceux-ci pouvaient sembler aberrants... « Il me semblait que les décisions des instances supérieures n'étaient pas toutes frappées au coin du bon sens » la guerre, c'est tout cela, pas moins, et les Américains ont payé le prix fort pour gagner cette ultime « Bataille » qui devait délivrer l'Europe du joug nazi.
Ce récit est parfois terrible : les « récupérations de terrain » s'effectuaient mètre carré par mètre carré, au prix, parfois, de plusieurs vies, aussi bien allemandes qu'alliées, ce qui a induit une réflexion lourde de sens d'un soldat blessé : « le 30 décembre, quelque part en Belgique, un obus allemand et moi avons combattu pour occuper le même emplacement, dans une prairie. L'obus a gagné ! »
Et, last but not least, la violence s'installe, de part et d'autre, va crescendo, et transforme en profondeur le cœur même des combattants : « La guerre m'avait eu : j'étais devenu un chasseur, et même un tueur ». |
Piège pour un tankiste : roman [texte imprimé] / Roger (Belge) MARQUET (1945-....), Auteur . - Tenneville : Memory Press, 2014 . - 256 p. ; 21 cm. ISBN : 978-2-87413-195-0 : 18 € Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
guerre |
Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
Résumé : |
Pièges pour un tankiste : avoir 20 ans, être soldat américain, débarquer en Normandie, puis rouler par camions et/ou tanks jusque la région de Bastogne, pour se retrouver en première ligne des combats, délivrer l'Europe de l'ennemi allemand et terminer cette guerre qui dure depuis quatre longues années, est-ce le hasard ou la folie des hommes ? « La peur et l'envie d'en découdre » !
La Bataille des Ardennes – oui, encore et toujours elle, mais ! - vue, vécue de l'intérieur par un jeune G.I., avec toutes les vicissitudes inhérentes à cette dernière offensive nazie, et les horreurs toujours générées en pareille situation. Ce récit, adroitement construit, rassemble sur un seul homme, Ted, ce qui est arrivé à nombre d'entre eux, de façon « séparée », mais rien n'est à jeter : émotions, peurs, blessures, drames, découragements, espérances de courrier de la famille ou de « l'amoureuse », attentes interminables, froid glacial, obéissance absolue aux ordres, même si ceux-ci pouvaient sembler aberrants... « Il me semblait que les décisions des instances supérieures n'étaient pas toutes frappées au coin du bon sens » la guerre, c'est tout cela, pas moins, et les Américains ont payé le prix fort pour gagner cette ultime « Bataille » qui devait délivrer l'Europe du joug nazi.
Ce récit est parfois terrible : les « récupérations de terrain » s'effectuaient mètre carré par mètre carré, au prix, parfois, de plusieurs vies, aussi bien allemandes qu'alliées, ce qui a induit une réflexion lourde de sens d'un soldat blessé : « le 30 décembre, quelque part en Belgique, un obus allemand et moi avons combattu pour occuper le même emplacement, dans une prairie. L'obus a gagné ! »
Et, last but not least, la violence s'installe, de part et d'autre, va crescendo, et transforme en profondeur le cœur même des combattants : « La guerre m'avait eu : j'étais devenu un chasseur, et même un tueur ». |
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