Titre : |
L'amour commence en hiver |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Simon VAN BOOY (1975-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : J'ai Lu |
Année de publication : |
2013 |
Collection : |
J'ai Lu . Roman num. 10443 |
Importance : |
106 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-290-07320-9 |
Prix : |
4,80 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
820-3 Roman traduit de la langue anglaise. [ou roman de langue anglaise avec CR 820-3]. |
Résumé : |
"Je voulais seulement me plonger dans son regard vert, écouter le son cadencé de sa voix, comme si ses mots étaient les notes que j'avais toujours cherché à entendre, celles que je n'avais jamais jouées, les sons mêmes de la vie". Dans l'étui de son violoncelle, Bruno conserve un talisman : une moufle, celle que portait son amie d'enfance, morte il y a vingt ans. Dans sa poche, Hannah a glissé un fruit cueilli sur l'arbre aux oiseaux qu'aimait son frère Jonathan. Jusqu'à ce que leurs chemins se croisent, ils ignorent tout du mystérieux enchaînement qui les conduit l'un vers l'autre. Comment se reconnaître? Il faut croire encore aux miracles. |
L'amour commence en hiver [texte imprimé] / Simon VAN BOOY (1975-....), Auteur . - Paris : J'ai Lu, 2013 . - 106 p.. - ( J'ai Lu . Roman; 10443) . ISBN : 978-2-290-07320-9 : 4,80 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
820-3 Roman traduit de la langue anglaise. [ou roman de langue anglaise avec CR 820-3]. |
Résumé : |
"Je voulais seulement me plonger dans son regard vert, écouter le son cadencé de sa voix, comme si ses mots étaient les notes que j'avais toujours cherché à entendre, celles que je n'avais jamais jouées, les sons mêmes de la vie". Dans l'étui de son violoncelle, Bruno conserve un talisman : une moufle, celle que portait son amie d'enfance, morte il y a vingt ans. Dans sa poche, Hannah a glissé un fruit cueilli sur l'arbre aux oiseaux qu'aimait son frère Jonathan. Jusqu'à ce que leurs chemins se croisent, ils ignorent tout du mystérieux enchaînement qui les conduit l'un vers l'autre. Comment se reconnaître? Il faut croire encore aux miracles. |
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