Titre : |
Je vais passer pour un vieux con. Et autres petites phrases qui en disent long |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Philippe DELERM (1950-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : Seuil |
Année de publication : |
2012 |
Importance : |
123 p. |
Format : |
19 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-02-105649-5 |
Prix : |
14,50 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-5 Entretien de langue française. |
Résumé : |
« Je vais passer pour un vieux con », « Quand on est dedans, elle est bonne », « Je vais relire Proust », « Les mots sont dérisoires »… Oui, dérisoires, les mots le sont sans doute : banalités lancées sans même y penser, petites phrases toutes faites qui viennent combler les trous de nos discours automatiques. Et pourtant, comme elles disent de nous – de nos faiblesses, de nos suffisances, de nos complicités, tous ces révélateurs de notre comédie humaine. Admirateur de Saint-Simon et de Proust, Philippe Delerm se plaît, comme eux, à poser le doigt sur les travers de ses contemporains, sur les détails dont on fait un monde. Lecteur de Jules Renard (particulièrement de son Journal) et La Bruyère, il a le goût des portraits et des petites phrases qui dévoilent l’esprit d’une époque. On connaissait Delerm observateur, promeneur amusé ou nostalgique. On le découvre parfois acide, drôle, emporté. Les mots sont pour lui une affaire sérieuse. Au fond, rien n’est jamais dérisoire. |
Je vais passer pour un vieux con. Et autres petites phrases qui en disent long [texte imprimé] / Philippe DELERM (1950-....), Auteur . - Paris : Seuil, 2012 . - 123 p. ; 19 cm. ISBN : 978-2-02-105649-5 : 14,50 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-5 Entretien de langue française. |
Résumé : |
« Je vais passer pour un vieux con », « Quand on est dedans, elle est bonne », « Je vais relire Proust », « Les mots sont dérisoires »… Oui, dérisoires, les mots le sont sans doute : banalités lancées sans même y penser, petites phrases toutes faites qui viennent combler les trous de nos discours automatiques. Et pourtant, comme elles disent de nous – de nos faiblesses, de nos suffisances, de nos complicités, tous ces révélateurs de notre comédie humaine. Admirateur de Saint-Simon et de Proust, Philippe Delerm se plaît, comme eux, à poser le doigt sur les travers de ses contemporains, sur les détails dont on fait un monde. Lecteur de Jules Renard (particulièrement de son Journal) et La Bruyère, il a le goût des portraits et des petites phrases qui dévoilent l’esprit d’une époque. On connaissait Delerm observateur, promeneur amusé ou nostalgique. On le découvre parfois acide, drôle, emporté. Les mots sont pour lui une affaire sérieuse. Au fond, rien n’est jamais dérisoire. |
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