Titre : |
La faute d'orthographe est ma langue maternelle |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Daniel PICOULY (1948-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : Albin Michel |
Année de publication : |
impr. 2012 |
Importance : |
120 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
20 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-226-24302-7 |
Prix : |
13,85 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Daniel Picouly revient sur son enfance et son rapport à l apprentissage et à la transmission. Il se dédouble, tour à tour l enfant qu il fut et l adulte qu il est. Il narre des souvenirs, d abord au premier degré, puis avec recul. Dans les deux cas, on assiste à la confrontation entre les rêves d un gamin de 10 ans en 1958, et ceux de l adulte qui, au fond, est resté le même. Il sait se faire attendrissant, sans verser dans la mièvrerie, raconter des histoires, sans pédanterie ni didactisme. Il a le vrai talent de ne pas faire de morale et d être généreux. On redécouvre des réflexions enfantines ; on respire un air de nostalgie (l enfance, mais aussi cette période où les noms ont valeur de symboles poétiques : Pierre Benoit, Gaston Leroux, Mendès-France...). Un très joli petit texte où les répliques fusent avec humour («Aux rations de guerre, les cancres reconnaissants »), où l émotion est constante et contenue. |
La faute d'orthographe est ma langue maternelle [texte imprimé] / Daniel PICOULY (1948-....), Auteur . - Paris : Albin Michel, impr. 2012 . - 120 p. : couv. ill. en coul. ; 20 cm. ISBN : 978-2-226-24302-7 : 13,85 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Daniel Picouly revient sur son enfance et son rapport à l apprentissage et à la transmission. Il se dédouble, tour à tour l enfant qu il fut et l adulte qu il est. Il narre des souvenirs, d abord au premier degré, puis avec recul. Dans les deux cas, on assiste à la confrontation entre les rêves d un gamin de 10 ans en 1958, et ceux de l adulte qui, au fond, est resté le même. Il sait se faire attendrissant, sans verser dans la mièvrerie, raconter des histoires, sans pédanterie ni didactisme. Il a le vrai talent de ne pas faire de morale et d être généreux. On redécouvre des réflexions enfantines ; on respire un air de nostalgie (l enfance, mais aussi cette période où les noms ont valeur de symboles poétiques : Pierre Benoit, Gaston Leroux, Mendès-France...). Un très joli petit texte où les répliques fusent avec humour («Aux rations de guerre, les cancres reconnaissants »), où l émotion est constante et contenue. |
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