Titre : |
Parce que c'était écrit... : roman |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Janine BOISSARD (1932-....), Auteur |
Mention d'édition : |
éd. revue et corrigée par l'auteur |
Editeur : |
Le Mans : Libra Diffusio |
Année de publication : |
2012 |
Importance : |
269 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
24 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-84492-494-0 |
Prix : |
24,40 € |
Note générale : |
Cet ouvrage a précédemment paru sous le titre : " Les miroirs de l'ombre" sous le nom de Janine Oriano. |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Venise, festival du film publicitaire. Pour la troisième fois consécutive, Frédéric Moure, flamboyant patron d'agence, vient présenter son dernier-né, appelé à triompher. Mais c'est sans compter sans l'outsider, programmé le lendemain, "88", par un certain Steiner...
Sur l'écran torturé, mille visages s'échappent d'un vase brisé. Ce vase, Frédéric l'a acheté en Grèce avec sa femme - une pièce unique. Ce visage, vieilli, marqué, c'est celui qu'il contemple chaque matin dans la glace. Moure, assiste, halluciné, à son propre destin. Canular, complot, pure folie ? L'affreuse prémonition vire à l'obsession... Et si tout était là, écrit d'avance, sur l'écran ? |
Parce que c'était écrit... : roman [texte imprimé] / Janine BOISSARD (1932-....), Auteur . - éd. revue et corrigée par l'auteur . - Le Mans : Libra Diffusio, 2012 . - 269 p. : couv. ill. en coul. ; 24 cm. ISBN : 978-2-84492-494-0 : 24,40 € Cet ouvrage a précédemment paru sous le titre : " Les miroirs de l'ombre" sous le nom de Janine Oriano. Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Venise, festival du film publicitaire. Pour la troisième fois consécutive, Frédéric Moure, flamboyant patron d'agence, vient présenter son dernier-né, appelé à triompher. Mais c'est sans compter sans l'outsider, programmé le lendemain, "88", par un certain Steiner...
Sur l'écran torturé, mille visages s'échappent d'un vase brisé. Ce vase, Frédéric l'a acheté en Grèce avec sa femme - une pièce unique. Ce visage, vieilli, marqué, c'est celui qu'il contemple chaque matin dans la glace. Moure, assiste, halluciné, à son propre destin. Canular, complot, pure folie ? L'affreuse prémonition vire à l'obsession... Et si tout était là, écrit d'avance, sur l'écran ? |
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