Titre : |
La guerre des mondes |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
H.G. WELLS (1866-1946), Auteur ; Henry D. DAVRAY, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Gallimard |
Année de publication : |
1989 |
Collection : |
Folio |
Importance : |
252 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7152-0158-3 |
Note générale : |
Trad. de : "War of worlds" |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) |
Index. décimale : |
820-3 Roman traduit de la langue anglaise. [ou roman de langue anglaise avec CR 820-3]. |
Résumé : |
Personne n’aurait cru, dans les dernières années du XIXe siècle, que ce monde était surveillé de la façon la plus pénétrante et la plus attentive, par des intelligences supérieures aux intelligences humaines et cependant mortelles comme elles.Personne ne donnait une pensée aux mondes plus anciens de l’espace comme sources de danger pour l’existence terrestre, ni ne songeait seulement à eux pour écarter l’idée de vie à leur surface comme impossible ou improbable.Tout au plus les terriens s’imaginaient-ils qu’il pouvait y avoir sur la planète Mars des êtres probablement inférieurs à eux, et disposés à faire bon accueil à une expédition missionnaire. Cependant, par-delà le gouffre de l’espace, des esprits qui sont à nos esprits ce que les nôtres sont à ceux des bêtes qui périssent, des intellects vastes, calmes et impitoyables, considéraient cette terre avec des yeux envieux, dressaient lentement et sûrement leurs plans pour la conquête de notre monde. Et dans les premières années du XXe siècle vint la grande désillusion… |
La guerre des mondes [texte imprimé] / H.G. WELLS (1866-1946), Auteur ; Henry D. DAVRAY, Traducteur . - Paris : Gallimard, 1989 . - 252 p. : couv. ill. ; 18 cm. - ( Folio) . ISBN : 978-2-7152-0158-3 Trad. de : "War of worlds" Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng)
Index. décimale : |
820-3 Roman traduit de la langue anglaise. [ou roman de langue anglaise avec CR 820-3]. |
Résumé : |
Personne n’aurait cru, dans les dernières années du XIXe siècle, que ce monde était surveillé de la façon la plus pénétrante et la plus attentive, par des intelligences supérieures aux intelligences humaines et cependant mortelles comme elles.Personne ne donnait une pensée aux mondes plus anciens de l’espace comme sources de danger pour l’existence terrestre, ni ne songeait seulement à eux pour écarter l’idée de vie à leur surface comme impossible ou improbable.Tout au plus les terriens s’imaginaient-ils qu’il pouvait y avoir sur la planète Mars des êtres probablement inférieurs à eux, et disposés à faire bon accueil à une expédition missionnaire. Cependant, par-delà le gouffre de l’espace, des esprits qui sont à nos esprits ce que les nôtres sont à ceux des bêtes qui périssent, des intellects vastes, calmes et impitoyables, considéraient cette terre avec des yeux envieux, dressaient lentement et sûrement leurs plans pour la conquête de notre monde. Et dans les premières années du XXe siècle vint la grande désillusion… |
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