Titre : |
Ce n'est pas une vie |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Robert (Belge) POULET (1893-1989), Auteur belge |
Editeur : |
Paris [France] : Denoël |
Année de publication : |
1976 |
Importance : |
287 p. |
Format : |
21 cm |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Ecrivains belges de langue française -- 20e siècle
|
Index. décimale : |
840(493)-94 Mémoires, journaux intimes belges de langue française. |
Résumé : |
Victime d'une erreur judiciaire, Robert Poulet fut comdamné à mort en 1945 par un tribunal militaire, statuant sommairement. L'accusé n'avait pas voulu invoquer publiquement la cautions secrète que lui avait donné son souverain. Il comptait que ce dernier interviendrait au moment opportun. Ce qui ne s'est pas produit... Entre la condamnation et la libération, l'auteur de "Handji" s'est remémoré les moments les plus singuliers de sa vie : ses études universitaires, la guerre dans un corps franc, l'usine, le travail des champs, dix ans de cinéma, les débuts littéraires et journalistiques. Ce qui amène l'évocation d'autres rencontres, antérieures ou postérieures, avec ses amis Drieu la Rochelle, Brasillach, Chardonne, Cocteau, Céline, Paulhan, les Belges Neuray, Colin, Degrelle, de Man... Le tout enveloppé dans l'expression d'une pensée vigoureuse et allègre, qui prête une nuance d'ironie supérieure à ces fragments de mémoires, dont les circonstances -au temps où elles étaient ressenties- restèrent longtemps, jour par jour, sous la menace de la salve fatale. |
Ce n'est pas une vie [texte imprimé] / Robert (Belge) POULET (1893-1989), Auteur belge . - Paris [France] : Denoël, 1976 . - 287 p. ; 21 cm. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Ecrivains belges de langue française -- 20e siècle
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Index. décimale : |
840(493)-94 Mémoires, journaux intimes belges de langue française. |
Résumé : |
Victime d'une erreur judiciaire, Robert Poulet fut comdamné à mort en 1945 par un tribunal militaire, statuant sommairement. L'accusé n'avait pas voulu invoquer publiquement la cautions secrète que lui avait donné son souverain. Il comptait que ce dernier interviendrait au moment opportun. Ce qui ne s'est pas produit... Entre la condamnation et la libération, l'auteur de "Handji" s'est remémoré les moments les plus singuliers de sa vie : ses études universitaires, la guerre dans un corps franc, l'usine, le travail des champs, dix ans de cinéma, les débuts littéraires et journalistiques. Ce qui amène l'évocation d'autres rencontres, antérieures ou postérieures, avec ses amis Drieu la Rochelle, Brasillach, Chardonne, Cocteau, Céline, Paulhan, les Belges Neuray, Colin, Degrelle, de Man... Le tout enveloppé dans l'expression d'une pensée vigoureuse et allègre, qui prête une nuance d'ironie supérieure à ces fragments de mémoires, dont les circonstances -au temps où elles étaient ressenties- restèrent longtemps, jour par jour, sous la menace de la salve fatale. |
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