Titre de série : |
Les gens de la Paulée, 2 |
Titre : |
Le bois des Auriottes : roman |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Hughes DOURIAUX, Auteur |
Editeur : |
Paris : Le Grand Livre du Mois |
Année de publication : |
impr. 2006 |
Importance : |
429 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
24 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7028-8326-6 |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Ce jour-là, on enterre la mère du Glaude, le patriarche du clan Theuvenot. Marinette, Émilie et Maurice reviennent ainsi à La Paulée pour l'honorer, mais non sans appréhender l'accueil réservé par le village. Ici, les perspectives de paix restent bien éloignées du quotidien. Rien n'a changé et pourtant tout est différent... " Pendant des années, la vie vous fout la paix. Ça se passe tout seul... Et pis... ". Les événements s'étaient précipités, en Europe et à la ferme. En Europe, on avait cru que la guerre allait éclater, mais finalement, à Munich, on avait préservé la paix. À la ferme... ça n'avait pas été la paix. Ah ben non, alors ! D'abord la Marinette était partie, laissant tomber son mari, le Lucien, pour courir le guilledou avec son beau-frère, le Maurice... Ensuite il y avait eu le déshonneur de sa petite-fille, l'Émilie, se hiquant avec le Jean-Bernard sans se rendre compte que cette ordure de Titisse Remeder les regardait faire, et comme ça tout le village avait appris la chose... (...) Tout ça en l'espace de moins de deux semaines... |
Les gens de la Paulée, 2. Le bois des Auriottes : roman [texte imprimé] / Hughes DOURIAUX, Auteur . - Paris : Le Grand Livre du Mois, impr. 2006 . - 429 p. : couv. ill. en coul. ; 24 cm. ISBN : 978-2-7028-8326-6 Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Ce jour-là, on enterre la mère du Glaude, le patriarche du clan Theuvenot. Marinette, Émilie et Maurice reviennent ainsi à La Paulée pour l'honorer, mais non sans appréhender l'accueil réservé par le village. Ici, les perspectives de paix restent bien éloignées du quotidien. Rien n'a changé et pourtant tout est différent... " Pendant des années, la vie vous fout la paix. Ça se passe tout seul... Et pis... ". Les événements s'étaient précipités, en Europe et à la ferme. En Europe, on avait cru que la guerre allait éclater, mais finalement, à Munich, on avait préservé la paix. À la ferme... ça n'avait pas été la paix. Ah ben non, alors ! D'abord la Marinette était partie, laissant tomber son mari, le Lucien, pour courir le guilledou avec son beau-frère, le Maurice... Ensuite il y avait eu le déshonneur de sa petite-fille, l'Émilie, se hiquant avec le Jean-Bernard sans se rendre compte que cette ordure de Titisse Remeder les regardait faire, et comme ça tout le village avait appris la chose... (...) Tout ça en l'espace de moins de deux semaines... |
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