Titre de série : |
Les Yeux jaunes des crocodiles, 3 |
Titre : |
Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi |
Type de document : |
enregistrement sonore non musical |
Auteurs : |
Katherine PANCOL (1954-....), Auteur ; Christine PARIS, Interprète |
Editeur : |
Paris : Audiolib |
Année de publication : |
2010 |
Importance : |
3 CD MP3; durée 27h |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-35641-233-1 |
Prix : |
24.90 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Souvent la vie s'amuse. Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé de rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud. Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l'imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d'un homme tremblant. Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue... Et la vie n'est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi... |
Les Yeux jaunes des crocodiles, 3. Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi [enregistrement sonore non musical] / Katherine PANCOL (1954-....), Auteur ; Christine PARIS, Interprète . - Paris : Audiolib, 2010 . - 3 CD MP3; durée 27h. ISBN : 978-2-35641-233-1 : 24.90 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Souvent la vie s'amuse. Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé de rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud. Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l'imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d'un homme tremblant. Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue... Et la vie n'est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi... |
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