Titre : |
Le compagnon de voyage |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Curzio, né Kurt-Erich Suckert MALAPARTE (1898-1957), Auteur ; Carole CAVALLERA, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Gallimard |
Année de publication : |
impr. 2010 |
Collection : |
Folio num. 5136 |
Importance : |
75 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-043787-0 |
Prix : |
4 € |
Note générale : |
Trad. de : "Il compagno di viggio" |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Italien (ita) |
Index. décimale : |
850-3 Roman traduit de la langue italienne [ou roman de langue italienne avec CR 850-3] |
Résumé : |
"Le lieutenant tombe à son tour. "Si je meurs, ne me laisse pas ici", murmure l'officier à son ordonnance, le chasseur alpin Calusia. C'est un Bergamasque puissant, au visage innocent et bon, qui balbutie en dialecte quand il est ému, et rougit. "Ne me laisse pas ici, Calusia, ramène-moi chez moi, à Naples. Chez ma mère. Palazzo Pignatelli, Monte di Dio, Naples..."" 1943, Calabre, Italie. Après le renversement de Mussolini et la signature de l'armistice, l'ordonnance Calusia promet à son lieutenant de le ramener chez lui, quoi qu'il en coûte. Commence un long voyage qui le mènera sur les chemins de la désolation et du chaos. Sans perdre espoir, Calusia poursuivra sa route et découvrira ce que l'humanité a de plus vil, mais aussi de plus noble.
|
Le compagnon de voyage [texte imprimé] / Curzio, né Kurt-Erich Suckert MALAPARTE (1898-1957), Auteur ; Carole CAVALLERA, Traducteur . - Paris : Gallimard, impr. 2010 . - 75 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Folio; 5136) . ISBN : 978-2-07-043787-0 : 4 € Trad. de : "Il compagno di viggio" Langues : Français ( fre) Langues originales : Italien ( ita)
Index. décimale : |
850-3 Roman traduit de la langue italienne [ou roman de langue italienne avec CR 850-3] |
Résumé : |
"Le lieutenant tombe à son tour. "Si je meurs, ne me laisse pas ici", murmure l'officier à son ordonnance, le chasseur alpin Calusia. C'est un Bergamasque puissant, au visage innocent et bon, qui balbutie en dialecte quand il est ému, et rougit. "Ne me laisse pas ici, Calusia, ramène-moi chez moi, à Naples. Chez ma mère. Palazzo Pignatelli, Monte di Dio, Naples..."" 1943, Calabre, Italie. Après le renversement de Mussolini et la signature de l'armistice, l'ordonnance Calusia promet à son lieutenant de le ramener chez lui, quoi qu'il en coûte. Commence un long voyage qui le mènera sur les chemins de la désolation et du chaos. Sans perdre espoir, Calusia poursuivra sa route et découvrira ce que l'humanité a de plus vil, mais aussi de plus noble.
|
|