Titre : |
Mémoire de mes putains tristes : roman |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Gabriel GARCIA MARQUEZ (1928-2014), Auteur ; Annie MORVAN, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Grasset |
Année de publication : |
impr. 2005 |
Importance : |
157 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-246-68841-9 |
Prix : |
5.60 E |
Note générale : |
Trad. de : "Memoria de mis putas tristes" |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) |
Index. décimale : |
860(8)-3 Roman traduit de la langue espagnole d'Amérique du Sud. |
Résumé : |
" L'année de mes quatre-vingt-dix ans, j'ai voulu m'offrir une folle nuit d'amour avec une adolescente vierge. Je me suis souvenu de Rosa Cabarcas, la patronne d'une maison close qui avait l'habitude de prévenir ses bons clients lorsqu'elle avait une nouveauté disponible.
Je n'avais jamais succombé à une telle invitation ni à aucune de ses nombreuses tentations obscènes, mais elle ne croyait pas à la pureté de mes principes. La morale aussi est une affaire de temps, disait-elle avec un sourire malicieux, tu verras. " |
Mémoire de mes putains tristes : roman [texte imprimé] / Gabriel GARCIA MARQUEZ (1928-2014), Auteur ; Annie MORVAN, Traducteur . - Paris : Grasset, impr. 2005 . - 157 p. : couv. ill. ; 21 cm. ISBN : 978-2-246-68841-9 : 5.60 E Trad. de : "Memoria de mis putas tristes" Langues : Français ( fre) Langues originales : Espagnol ( spa)
Index. décimale : |
860(8)-3 Roman traduit de la langue espagnole d'Amérique du Sud. |
Résumé : |
" L'année de mes quatre-vingt-dix ans, j'ai voulu m'offrir une folle nuit d'amour avec une adolescente vierge. Je me suis souvenu de Rosa Cabarcas, la patronne d'une maison close qui avait l'habitude de prévenir ses bons clients lorsqu'elle avait une nouveauté disponible.
Je n'avais jamais succombé à une telle invitation ni à aucune de ses nombreuses tentations obscènes, mais elle ne croyait pas à la pureté de mes principes. La morale aussi est une affaire de temps, disait-elle avec un sourire malicieux, tu verras. " |
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