Titre : |
Je l'aimais : roman |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Anna GAVALDA (1970-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : J'ai Lu |
Année de publication : |
DL 2003 |
Collection : |
J'ai Lu num. 6243 |
Importance : |
154 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-290-34078-3 |
Prix : |
5.31 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
On biaise, on s'arrange, on a notre petite lâcheté dans les pattes comme un animal familier. On la caresse, on la dresse, on s'y attache. C'est la vie. Il y a les courageux et puis ceux qui s'accommodent. C'est tellement moins fatigant de s'accommoder... » A-t-on le droit de tout quitter, femme et enfants, simplement parce que l'on se rend compte - un peu tard - que l'on s'est peut-être trompé ? Adrien est parti. Chloé et leurs deux filles sont sous le choc. Le père d'Adrien apporte à la jeune femme son réconfort. À sa manière : plutôt que d'accabler son fils, il semble lui porter une certaine admiration. Son geste est égoïste, certes, mais courageux. Lui n'en a pas été capable. Tout au long d'une émouvante confidence, il raconte à sa belle-fille comment, jadis, en voulant lâchement préserver sa vie, il a tout gâché. |
Je l'aimais : roman [texte imprimé] / Anna GAVALDA (1970-....), Auteur . - Paris : J'ai Lu, DL 2003 . - 154 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( J'ai Lu; 6243) . ISBN : 978-2-290-34078-3 : 5.31 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
On biaise, on s'arrange, on a notre petite lâcheté dans les pattes comme un animal familier. On la caresse, on la dresse, on s'y attache. C'est la vie. Il y a les courageux et puis ceux qui s'accommodent. C'est tellement moins fatigant de s'accommoder... » A-t-on le droit de tout quitter, femme et enfants, simplement parce que l'on se rend compte - un peu tard - que l'on s'est peut-être trompé ? Adrien est parti. Chloé et leurs deux filles sont sous le choc. Le père d'Adrien apporte à la jeune femme son réconfort. À sa manière : plutôt que d'accabler son fils, il semble lui porter une certaine admiration. Son geste est égoïste, certes, mais courageux. Lui n'en a pas été capable. Tout au long d'une émouvante confidence, il raconte à sa belle-fille comment, jadis, en voulant lâchement préserver sa vie, il a tout gâché. |
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