Titre : |
Mal de pierres |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Milena AGUS, Auteur ; Dominique VITTOZ, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Liana Levi |
Année de publication : |
impr. 2007 |
Importance : |
123 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-86746-433-1 |
Prix : |
14.37 € |
Note générale : |
Trad. de: "Mal di pietre" |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Italien (ita) |
Index. décimale : |
850-3 Roman traduit de la langue italienne [ou roman de langue italienne avec CR 850-3] |
Résumé : |
Entourée de jeunes hommes qui pourraient demander sa main, l’héroïne tarde pourtant à trouver un mari car elle rêve de l’amour idéal. À trente ans, elle est déjà considérée une vieille fille par les siens, dans une Sardaigne qui connaît les affres de la Seconde Guerre mondiale… Et lorsqu’elle conclut une union très attendue, c’est en affirmant haut et fort que ce n’est pas par amour mais par raison. Comme son unique enfant, l’amour se fera attendre. Elle finira par le rencontrer sur le Continent, lors d’une cure thermale destinée à guérir son «mal de pierres», des calculs rénaux, mais qui aura raison aussi de son «mal d’amour». À sa petite-fille, elle racontera quelques décennies plus tard ses émotions, ses cheminements, tout en laissant des zones d’ombres. La vérité ne se recomposera que longtemps plus tard, de façon inattendue, lorsque la dernière pièce du puzzle se retrouvera entre les mains de la narratrice. Mais quelle est au juste la vérité?Prix Relay du Roman d'ÉvasionPrix Elsa Morante en Italie«Une miniature. C’est ainsi que Dominique Vittoz, la traductrice, a défini ce texte. Et la comparaison me semble excellente. L’observateur aperçoit d’abord l’héroïne qui souffre de ce "mal de pierres". Ensuite il découvre en arrière-plan les personnages secondaires peints jusque dans les moindres détails avec une touche d’une extraordinaire adresse et finesse. Avec une sensibilité et une liberté de langage étonnantes Milena Agus déroule pour nous l’histoire. Mais il vous faudra attendre les dernières pages pour tout comprendre. Enfin, presque tout, car comme dans la vie, la vérité se dérobe... |
Mal de pierres [texte imprimé] / Milena AGUS, Auteur ; Dominique VITTOZ, Traducteur . - Paris : Liana Levi, impr. 2007 . - 123 p. : couv. ill. en coul. ; 21 cm. ISBN : 978-2-86746-433-1 : 14.37 € Trad. de: "Mal di pietre" Langues : Français ( fre) Langues originales : Italien ( ita)
Index. décimale : |
850-3 Roman traduit de la langue italienne [ou roman de langue italienne avec CR 850-3] |
Résumé : |
Entourée de jeunes hommes qui pourraient demander sa main, l’héroïne tarde pourtant à trouver un mari car elle rêve de l’amour idéal. À trente ans, elle est déjà considérée une vieille fille par les siens, dans une Sardaigne qui connaît les affres de la Seconde Guerre mondiale… Et lorsqu’elle conclut une union très attendue, c’est en affirmant haut et fort que ce n’est pas par amour mais par raison. Comme son unique enfant, l’amour se fera attendre. Elle finira par le rencontrer sur le Continent, lors d’une cure thermale destinée à guérir son «mal de pierres», des calculs rénaux, mais qui aura raison aussi de son «mal d’amour». À sa petite-fille, elle racontera quelques décennies plus tard ses émotions, ses cheminements, tout en laissant des zones d’ombres. La vérité ne se recomposera que longtemps plus tard, de façon inattendue, lorsque la dernière pièce du puzzle se retrouvera entre les mains de la narratrice. Mais quelle est au juste la vérité?Prix Relay du Roman d'ÉvasionPrix Elsa Morante en Italie«Une miniature. C’est ainsi que Dominique Vittoz, la traductrice, a défini ce texte. Et la comparaison me semble excellente. L’observateur aperçoit d’abord l’héroïne qui souffre de ce "mal de pierres". Ensuite il découvre en arrière-plan les personnages secondaires peints jusque dans les moindres détails avec une touche d’une extraordinaire adresse et finesse. Avec une sensibilité et une liberté de langage étonnantes Milena Agus déroule pour nous l’histoire. Mais il vous faudra attendre les dernières pages pour tout comprendre. Enfin, presque tout, car comme dans la vie, la vérité se dérobe... |
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