Titre : |
Nouvelles exemplaires : précédé de "Une lectrice exemplaire" par José Moure |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Miguel de CERVANTES SAAVEDRA (1547-1616), Auteur ; Louis VIARDOT (1800-1883), Traducteur |
Editeur : |
Paris : P.O.L |
Année de publication : |
DL 1992 |
Importance : |
591 p. |
Présentation : |
couv. ill en coul. |
Format : |
18 cm. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-86744-226-1 |
Prix : |
5€ |
Note générale : |
Trad. de : "Novelas ejemplares" |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) |
Index. décimale : |
860-39 Roman ancien traduit de l'espagnol |
Résumé : |
Si les premiers lecteurs de Cervantès ont ri aux exploits de Don Quichotte, leurs préférences sont allées à d'autres textes, tel que Persilès, qui sont à redécouvrir, et plus encore aux Nouvelles exemplaires, que nous continuons de lire, mais d'un autre oeil que les sujets de Philippe III. La modernité de Cervantès n'est pas la résultante d'un simple questionnement des valeurs établies, qui exprimerait les tensions d'un âge de crise. Elle tient plutôt à la vertu de cette écriture grâce à laquelle une oeuvre, inscrite au départ dans le climat culturel d'une époque aujourd'hui révolue, a débordé au fil des âges le dessein qui l'avait engendrée. Tel est le paradoxe auquel elle nous confronte. Sans doute eût-il été vain de prétendre en découvrir le secret ; du moins convenait-il de la replacer dans l'espace et le temps qui l'ont vue naître. |
Nouvelles exemplaires : précédé de "Une lectrice exemplaire" par José Moure [texte imprimé] / Miguel de CERVANTES SAAVEDRA (1547-1616), Auteur ; Louis VIARDOT (1800-1883), Traducteur . - Paris : P.O.L, DL 1992 . - 591 p. : couv. ill en coul. ; 18 cm. ISBN : 978-2-86744-226-1 : 5€ Trad. de : "Novelas ejemplares" Langues : Français ( fre) Langues originales : Espagnol ( spa)
Index. décimale : |
860-39 Roman ancien traduit de l'espagnol |
Résumé : |
Si les premiers lecteurs de Cervantès ont ri aux exploits de Don Quichotte, leurs préférences sont allées à d'autres textes, tel que Persilès, qui sont à redécouvrir, et plus encore aux Nouvelles exemplaires, que nous continuons de lire, mais d'un autre oeil que les sujets de Philippe III. La modernité de Cervantès n'est pas la résultante d'un simple questionnement des valeurs établies, qui exprimerait les tensions d'un âge de crise. Elle tient plutôt à la vertu de cette écriture grâce à laquelle une oeuvre, inscrite au départ dans le climat culturel d'une époque aujourd'hui révolue, a débordé au fil des âges le dessein qui l'avait engendrée. Tel est le paradoxe auquel elle nous confronte. Sans doute eût-il été vain de prétendre en découvrir le secret ; du moins convenait-il de la replacer dans l'espace et le temps qui l'ont vue naître. |
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