Titre : |
Nouveaux contes de la folie ordinaire |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Charles BUKOWSKI (1920-1994), Auteur ; Léon MERCADET, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Grasset |
Année de publication : |
DL 2005 |
Importance : |
315 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-253-03621-0 |
Prix : |
5.60 E |
Note générale : |
Trad. de: "Erections, ejaculations, exhibitions and general tales of ordinary madness" |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Américain (ame) |
Index. décimale : |
820(73)-3 Roman américain traduit de la langue anglaise. (ou roman américain de langue anglaise avec CR 820(73)-3). |
Résumé : |
« A quoi bon des poètes dans un temps de détresse ? » demandait Höldorlin. La réponse est dans Bukowski, dans une prose qui est l'une des plus dénonciatrices accusatrices de ce temps. Et sans aucune issue proposée : le constat d'enfer nu, organique, brutal. Les « caprices o de Goya, en pleines phrases. J'ai lu quelque part que Bukowski était « rabelaisien > . Mais non, il s'agit de quelque chose de beaucoup plus noir, de beaucoup plus simple et lisible, d'une inspiration beaucoup plus « théologique » sous un air d'anarchisme absolu. La civilisation, ou ce qui en reste, n'est pas du tout en train de « renaître » mais de se tasser, de se décomposer, de se décharger, et Bukowski n'a pas d'autre choix que de lui répondre du tac au tac avec le maximum de violence, à bout portant. » . |
Nouveaux contes de la folie ordinaire [texte imprimé] / Charles BUKOWSKI (1920-1994), Auteur ; Léon MERCADET, Traducteur . - Paris : Grasset, DL 2005 . - 315 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. ISBN : 978-2-253-03621-0 : 5.60 E Trad. de: "Erections, ejaculations, exhibitions and general tales of ordinary madness" Langues : Français ( fre) Langues originales : Américain ( ame)
Index. décimale : |
820(73)-3 Roman américain traduit de la langue anglaise. (ou roman américain de langue anglaise avec CR 820(73)-3). |
Résumé : |
« A quoi bon des poètes dans un temps de détresse ? » demandait Höldorlin. La réponse est dans Bukowski, dans une prose qui est l'une des plus dénonciatrices accusatrices de ce temps. Et sans aucune issue proposée : le constat d'enfer nu, organique, brutal. Les « caprices o de Goya, en pleines phrases. J'ai lu quelque part que Bukowski était « rabelaisien > . Mais non, il s'agit de quelque chose de beaucoup plus noir, de beaucoup plus simple et lisible, d'une inspiration beaucoup plus « théologique » sous un air d'anarchisme absolu. La civilisation, ou ce qui en reste, n'est pas du tout en train de « renaître » mais de se tasser, de se décomposer, de se décharger, et Bukowski n'a pas d'autre choix que de lui répondre du tac au tac avec le maximum de violence, à bout portant. » . |
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