Titre : |
Le roman des Jardin : roman |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Alexandre JARDIN (1965-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : Grasset |
Année de publication : |
2005 |
Importance : |
313 p. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-246-69281-2 |
Prix : |
20.20 E |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
"Dois-je avouer que, soudain, j'en ai eu assez de me cacher publiquement en écrivant des romans de bon garçon ? Que mes petites épopées sur l'extase conjugale m'ont paru, la quarantaine venue, bien pâlichonnes au regard des folies de ma famille ? Bon sang, me suis-je dit : jusqu'à quand auras-tu peur d'être un Jardin ? Il faut admettre que le sang des Jardin est un breuvage à hauts risques. Une gorgée, et bas les masques ! Cap sur les sentiments incorrects; sur des fièvres bizarres, loufoques, grisantes; sur ces hurluberlus qui font ma tribu et qui embellirent leur vie de magnifiques audaces... Le résultat est là : dans ce roman vrai, je perce mes abcès de silence. Je vagabonde enfin au sein de ce clan qui, à lui seul, incarne la fantaisie, l'irrégularité en tout et un moment d'incroyable liberté. Pour la première fois, je redeviens un Jardin. Suis-je digne de ces grands fouleurs de principes ? Je leur dois, en tout cas, la meilleure part de ce que je suis. |
Le roman des Jardin : roman [texte imprimé] / Alexandre JARDIN (1965-....), Auteur . - Paris : Grasset, 2005 . - 313 p. ; 21 cm. ISBN : 978-2-246-69281-2 : 20.20 E Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
"Dois-je avouer que, soudain, j'en ai eu assez de me cacher publiquement en écrivant des romans de bon garçon ? Que mes petites épopées sur l'extase conjugale m'ont paru, la quarantaine venue, bien pâlichonnes au regard des folies de ma famille ? Bon sang, me suis-je dit : jusqu'à quand auras-tu peur d'être un Jardin ? Il faut admettre que le sang des Jardin est un breuvage à hauts risques. Une gorgée, et bas les masques ! Cap sur les sentiments incorrects; sur des fièvres bizarres, loufoques, grisantes; sur ces hurluberlus qui font ma tribu et qui embellirent leur vie de magnifiques audaces... Le résultat est là : dans ce roman vrai, je perce mes abcès de silence. Je vagabonde enfin au sein de ce clan qui, à lui seul, incarne la fantaisie, l'irrégularité en tout et un moment d'incroyable liberté. Pour la première fois, je redeviens un Jardin. Suis-je digne de ces grands fouleurs de principes ? Je leur dois, en tout cas, la meilleure part de ce que je suis. |
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