Titre de série : |
Quatre soeurs (Ferdjoukh), 1 |
Titre : |
Enid |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Malika FERDJOUKH (1957-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : L'Ecole des loisirs |
Année de publication : |
2003 |
Collection : |
Médium |
Importance : |
138 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-211-06957-1 |
Prix : |
8.00 E |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Enid doit faire dix-sept pas de l’abribus jusqu’à l’impasse de l’Atlantique qui mène à sa maison, la Vill’Hervé. Un de moins que l’automne dernier. La preuve que ses jambes allongent, donc qu’elle a grandi. N’empêche qu’elle est toujours la plus petite des cinq sœurs Verdelaine. Personne ne la croit quand elle dit qu’elle a entendu un fantôme hurler dans le parc. Ni Charlie, trop occupée à réparer Madame Chaudière pour l’hiver. Ni Bettina et ses copines, concentrées sur leur nombril. Ni Geneviève, mobilisée par son propre secret très difficile à préserver. Ni Hortense, plongée dans la rédaction de son journal intime. Ses parents la croiraient peut-être, mais ils sont morts depuis dix-neuf mois et vingt-deux jours. Swift, sa chauve-souris, l’écouterait sûrement, mais elle a disparu dans la tempête. Il faut qu’Enid se résigne : « Convaincre les grands, c’est comme vouloir qu’un chewing-gum mâchouillé une heure conserve son goût du début. » |
Quatre soeurs (Ferdjoukh), 1. Enid [texte imprimé] / Malika FERDJOUKH (1957-....), Auteur . - Paris : L'Ecole des loisirs, 2003 . - 138 p.. - ( Médium) . ISBN : 978-2-211-06957-1 : 8.00 E Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Enid doit faire dix-sept pas de l’abribus jusqu’à l’impasse de l’Atlantique qui mène à sa maison, la Vill’Hervé. Un de moins que l’automne dernier. La preuve que ses jambes allongent, donc qu’elle a grandi. N’empêche qu’elle est toujours la plus petite des cinq sœurs Verdelaine. Personne ne la croit quand elle dit qu’elle a entendu un fantôme hurler dans le parc. Ni Charlie, trop occupée à réparer Madame Chaudière pour l’hiver. Ni Bettina et ses copines, concentrées sur leur nombril. Ni Geneviève, mobilisée par son propre secret très difficile à préserver. Ni Hortense, plongée dans la rédaction de son journal intime. Ses parents la croiraient peut-être, mais ils sont morts depuis dix-neuf mois et vingt-deux jours. Swift, sa chauve-souris, l’écouterait sûrement, mais elle a disparu dans la tempête. Il faut qu’Enid se résigne : « Convaincre les grands, c’est comme vouloir qu’un chewing-gum mâchouillé une heure conserve son goût du début. » |
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