Titre : |
Les gens d'en face : roman |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Georges (Belge) SIMENON (1903-1989), Auteur belge |
Editeur : |
Paris : Librairie Générale Française |
Année de publication : |
1971, 1973 |
Collection : |
Le Livre de Poche num. 2912 |
Importance : |
217 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Prix : |
5€ |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
POLICIER |
Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
Résumé : |
– Comment ! vous avez du pain blanc !
Les deux Persans entraient dans le salon, le consul et sa femme, et c’était celle-ci qui s’extasiait devant la table couverte de sandwiches joliment arrangés.
Or, il n’y avait pas une minute qu’on disait à Adil bey :
– Il n’existe que trois consulats à Batum : le vôtre, celui de Perse et le nôtre. Mais les Persans sont infréquentables.
C’était Mme Pendelli qui parlait ainsi, la femme du consul d’Italie, et celui-ci, affalé dans un fauteuil, fumait une mince cigarette à bout rose. Les deux femmes se rejoignirent en souriant au milieu du salon au moment précis où des sons, qui n’avaient été jusque-là qu’une rumeur vague dans la ville ensoleillée, s’amplifiaient et soudain, au coin de la rue, éclataient en fanfare.
Alors tout le monde gagna la véranda pour regarder le cortège
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Les gens d'en face : roman [texte imprimé] / Georges (Belge) SIMENON (1903-1989), Auteur belge . - Paris : Librairie Générale Française, 1971, 1973 . - 217 p. : couv. ill.. - ( Le Livre de Poche; 2912) . 5€ Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
POLICIER |
Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
Résumé : |
– Comment ! vous avez du pain blanc !
Les deux Persans entraient dans le salon, le consul et sa femme, et c’était celle-ci qui s’extasiait devant la table couverte de sandwiches joliment arrangés.
Or, il n’y avait pas une minute qu’on disait à Adil bey :
– Il n’existe que trois consulats à Batum : le vôtre, celui de Perse et le nôtre. Mais les Persans sont infréquentables.
C’était Mme Pendelli qui parlait ainsi, la femme du consul d’Italie, et celui-ci, affalé dans un fauteuil, fumait une mince cigarette à bout rose. Les deux femmes se rejoignirent en souriant au milieu du salon au moment précis où des sons, qui n’avaient été jusque-là qu’une rumeur vague dans la ville ensoleillée, s’amplifiaient et soudain, au coin de la rue, éclataient en fanfare.
Alors tout le monde gagna la véranda pour regarder le cortège
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