Titre : |
La muselière |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Minette WALTERS (1949-....), Auteur ; Philippe BONNET, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Pocket |
Année de publication : |
1995 |
Collection : |
Pocket num. 4483 |
Importance : |
383 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-266-07099-7 |
Prix : |
6.00 € |
Note générale : |
Titre original : Thr scold's bridle |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) |
Index. décimale : |
820-3 Roman traduit de la langue anglaise. [ou roman de langue anglaise avec CR 820-3]. |
Résumé : |
Vol. n°4483. -- Mathilda Gillespie parlait trop, buvait trop et terrorisait son entourage. Elle était richissime, avare et fabulatrice. Sa fille se droguait, sa petite-fille la volait. Son testament, ignoré de tous, les déshéritait. On la retrouva noyée dans sa baignoire, enguirlandée d'asters et d'orties blanches, comme Ophélie, et affublée d'une muselière en fer rouillé, comme une sorcière médiévale. Ce suicide, ou plus vraisemblablement ce meurtre, était une sorte de chef-d'oeuvre, une énigme résultant d'une vie entière de mensonges, d'amours étranges, de haines et de violence. Seul le journal intime de Mathilda pourrait peut-être en livrer tous les secrets. Mais ce journal a disparu |
La muselière [texte imprimé] / Minette WALTERS (1949-....), Auteur ; Philippe BONNET, Traducteur . - Paris : Pocket, 1995 . - 383 p. : couv. ill. ; 18 cm. - ( Pocket; 4483) . ISBN : 978-2-266-07099-7 : 6.00 € Titre original : Thr scold's bridle Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng)
Index. décimale : |
820-3 Roman traduit de la langue anglaise. [ou roman de langue anglaise avec CR 820-3]. |
Résumé : |
Vol. n°4483. -- Mathilda Gillespie parlait trop, buvait trop et terrorisait son entourage. Elle était richissime, avare et fabulatrice. Sa fille se droguait, sa petite-fille la volait. Son testament, ignoré de tous, les déshéritait. On la retrouva noyée dans sa baignoire, enguirlandée d'asters et d'orties blanches, comme Ophélie, et affublée d'une muselière en fer rouillé, comme une sorcière médiévale. Ce suicide, ou plus vraisemblablement ce meurtre, était une sorte de chef-d'oeuvre, une énigme résultant d'une vie entière de mensonges, d'amours étranges, de haines et de violence. Seul le journal intime de Mathilda pourrait peut-être en livrer tous les secrets. Mais ce journal a disparu |
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