Titre : |
1984 |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
George, né Eric Arthur Blair ORWELL (1903-1950), Auteur ; Amélie AUDIBERTI, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Gallimard |
Année de publication : |
1982, 2001, 2007 |
Collection : |
Folio num. 822 |
Importance : |
438 p. |
Présentation : |
ill. en coul., couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-036822-8 |
Prix : |
6,39 € |
Note générale : |
Trad. de : "Nineteen eighty-four" |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
SOCIETE SCIENCE-FICTION LIBERTE ESPRIT |
Index. décimale : |
820-3 Roman traduit de la langue anglaise. [ou roman de langue anglaise avec CR 820-3]. |
Résumé : |
«De tous les carrefours importants, le visage à la moustache noire vous fixait du regard. BIG BROTHER VOUS REGARDE, répétait la légende, tandis que le regard des yeux noirs pénétrait les yeux de Winston... Au loin, un hélicoptère glissa entre les toits, plana un moment, telle une mouche bleue, puis repartit comme une flèche, dans un vol courbe. C'était une patrouille qui venait mettre le nez aux fenêtres des gens. Mais les patrouilles n'avaient pas d'importance. Seule comptait la Police de la Pensée.» |
1984 [texte imprimé] / George, né Eric Arthur Blair ORWELL (1903-1950), Auteur ; Amélie AUDIBERTI, Traducteur . - Paris : Gallimard, 1982, 2001, 2007 . - 438 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Folio; 822) . ISBN : 978-2-07-036822-8 : 6,39 € Trad. de : "Nineteen eighty-four" Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
SOCIETE SCIENCE-FICTION LIBERTE ESPRIT |
Index. décimale : |
820-3 Roman traduit de la langue anglaise. [ou roman de langue anglaise avec CR 820-3]. |
Résumé : |
«De tous les carrefours importants, le visage à la moustache noire vous fixait du regard. BIG BROTHER VOUS REGARDE, répétait la légende, tandis que le regard des yeux noirs pénétrait les yeux de Winston... Au loin, un hélicoptère glissa entre les toits, plana un moment, telle une mouche bleue, puis repartit comme une flèche, dans un vol courbe. C'était une patrouille qui venait mettre le nez aux fenêtres des gens. Mais les patrouilles n'avaient pas d'importance. Seule comptait la Police de la Pensée.» |
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