Titre : |
Avec mon aube et mes santiags |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Guy GILBERT (1935-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : Librairie Générale Française |
Année de publication : |
1991 |
Collection : |
Le Livre de Poche num. 7313 |
Importance : |
249 p. |
Présentation : |
Couv. ill |
Format : |
17 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-253-05790-1 |
Prix : |
5 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. |
Résumé : |
Le " prêtre des loubards " raconte son combat quotidien pour arracher les jeunes les plus défavorisés à la drogue, à la délinquance, à la violence : tous les masques du désespoir, dans une société en proie au chômage, et qui ne sait plus quelles valeurs transmettre, ni comment. A l'appui de ce combat, une foi inébranlable : la parole du Christ. Et la certitude qu'aucun être humain n'est " irrécupérable ". Un témoignage brûlant, indifférent aux préjugés, par l'auteur de La rue est mon église et de L'Epérance aux mains nues. Un document aussi, plus que jamais d'actualité alors que se multiplient les signaux du désespoir des banlieues. |
Avec mon aube et mes santiags [texte imprimé] / Guy GILBERT (1935-....), Auteur . - Paris : Librairie Générale Française, 1991 . - 249 p. : Couv. ill ; 17 cm. - ( Le Livre de Poche; 7313) . ISBN : 978-2-253-05790-1 : 5 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. |
Résumé : |
Le " prêtre des loubards " raconte son combat quotidien pour arracher les jeunes les plus défavorisés à la drogue, à la délinquance, à la violence : tous les masques du désespoir, dans une société en proie au chômage, et qui ne sait plus quelles valeurs transmettre, ni comment. A l'appui de ce combat, une foi inébranlable : la parole du Christ. Et la certitude qu'aucun être humain n'est " irrécupérable ". Un témoignage brûlant, indifférent aux préjugés, par l'auteur de La rue est mon église et de L'Epérance aux mains nues. Un document aussi, plus que jamais d'actualité alors que se multiplient les signaux du désespoir des banlieues. |
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