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Titre : André Derain : le titan foudroyé Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel CHARZAT, Auteur Editeur : Malakoff : Hazan Année de publication : DL 2015 Importance : 376 p. Présentation : ill., couv. ill. Format : 27 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7541-0745-7 Prix : 43,75 € Langues : Français (fre) Catégories : Derain, André (1880-1954) -- Biographies Mots-clés : Derain peinture peindre Index. décimale : 75 La peinture. CR 75 ABC Résumé :
Dernier des « monstres sacrés » à redécouvrir dans l’histoire de la peinture du XXe siècle, André Derain (1880-1954) a été longtemps tenu pour l’égal de Matisse et Picasso. Soixante ans après sa disparition, on attendait ce premier ouvrage complet consacré à l’un des artistes les plus créatifs et les plus controversés de son époque. Ce récit alerte, fruit d’une enquête rigoureuse, intéressera un large public au roman de la vie d’un homme prodigieusement doué, aux tourments de ce colosse mélancolique, à la trajectoire d’un des princes des Années folles à Paris. Appuyé sur une riche iconographie – 195 illustrations dont 91 reproductions en couleurs –, ce livre présente un panorama exhaustif de l’œuvre protéiforme d’un peintre qui fut aussi illustrateur, sculpteur, céramiste, décorateur de théâtre… Derain, le titan foudroyé renouvelle le regard porté sur l’homme comme sur son œuvre. À propos de l’homme : Ce livre apporte des informations inédites et décisives sur plusieurs périodes de son existence occultées ou méconnues : sa jeunesse à Chatou, ses amitiés avec Matisse, Picasso, Braque, Breton, Balthus, Giacometti, Camus, son voyage en Allemagne pendant la Seconde Guerre. Il révèle le dernier amour de l’artiste, Nicole Algan qui lui a donné un fils dont l’existence était restée cachée. La découverte par l’auteur d’une centaine de lettres écrites par Derain à Nicole Algan entre 1947 et 1954 éclaire d’un jour nouveau les dernières années pathétiques de sa vie. À propos de l’œuvre : En suivant, pas à pas, les essais, les tâtonnements de l’artiste, le lecteur comprend les choix qui s’offraient à lui, comme aux autres artistes innovateurs de son époque. À Collioure, en 1905, Derain déclenche avec Matisse la première révolution picturale du XXe siècle : le fauvisme. À Londres, où Vollard l’envoie rivaliser avec Monet, il découvre l’art nègre qu’il fait connaître à Montmartre. Puis Derain participe avec Braque et Picasso à l’invention du cubisme. En 1910, il part « à la recherche des secrets perdus de la peinture ». Sa démarche préfigure le retour au classicisme de l’entre-deux guerres. Après les épreuves de la Grande Guerre, il connaît la gloire. Il est alors le rival de Picasso. Mais après 1945, l’homme comme son œuvre sont décriés. Pourtant il peindra encore quelques-uns des plus beaux tableaux de son temps.
André Derain : le titan foudroyé [texte imprimé] / Michel CHARZAT, Auteur . - Malakoff : Hazan, DL 2015 . - 376 p. : ill., couv. ill. ; 27 cm.
ISBN : 978-2-7541-0745-7 : 43,75 €
Langues : Français (fre)
Catégories : Derain, André (1880-1954) -- Biographies Mots-clés : Derain peinture peindre Index. décimale : 75 La peinture. CR 75 ABC Résumé :
Dernier des « monstres sacrés » à redécouvrir dans l’histoire de la peinture du XXe siècle, André Derain (1880-1954) a été longtemps tenu pour l’égal de Matisse et Picasso. Soixante ans après sa disparition, on attendait ce premier ouvrage complet consacré à l’un des artistes les plus créatifs et les plus controversés de son époque. Ce récit alerte, fruit d’une enquête rigoureuse, intéressera un large public au roman de la vie d’un homme prodigieusement doué, aux tourments de ce colosse mélancolique, à la trajectoire d’un des princes des Années folles à Paris. Appuyé sur une riche iconographie – 195 illustrations dont 91 reproductions en couleurs –, ce livre présente un panorama exhaustif de l’œuvre protéiforme d’un peintre qui fut aussi illustrateur, sculpteur, céramiste, décorateur de théâtre… Derain, le titan foudroyé renouvelle le regard porté sur l’homme comme sur son œuvre. À propos de l’homme : Ce livre apporte des informations inédites et décisives sur plusieurs périodes de son existence occultées ou méconnues : sa jeunesse à Chatou, ses amitiés avec Matisse, Picasso, Braque, Breton, Balthus, Giacometti, Camus, son voyage en Allemagne pendant la Seconde Guerre. Il révèle le dernier amour de l’artiste, Nicole Algan qui lui a donné un fils dont l’existence était restée cachée. La découverte par l’auteur d’une centaine de lettres écrites par Derain à Nicole Algan entre 1947 et 1954 éclaire d’un jour nouveau les dernières années pathétiques de sa vie. À propos de l’œuvre : En suivant, pas à pas, les essais, les tâtonnements de l’artiste, le lecteur comprend les choix qui s’offraient à lui, comme aux autres artistes innovateurs de son époque. À Collioure, en 1905, Derain déclenche avec Matisse la première révolution picturale du XXe siècle : le fauvisme. À Londres, où Vollard l’envoie rivaliser avec Monet, il découvre l’art nègre qu’il fait connaître à Montmartre. Puis Derain participe avec Braque et Picasso à l’invention du cubisme. En 1910, il part « à la recherche des secrets perdus de la peinture ». Sa démarche préfigure le retour au classicisme de l’entre-deux guerres. Après les épreuves de la Grande Guerre, il connaît la gloire. Il est alors le rival de Picasso. Mais après 1945, l’homme comme son œuvre sont décriés. Pourtant il peindra encore quelques-uns des plus beaux tableaux de son temps.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 410000108533 75 DER Livre documentaire Jardin perdu Adultes Document en bon état Disponible
Titre : Andy Warhol, 1928-1987 : de l'art comme commerce Type de document : texte imprimé Auteurs : Klaus HONNEF (1939-....), Auteur Editeur : Paris : Taschen Année de publication : cop. 2015 Collection : Petite Collection 2.0 Importance : 96 p. Présentation : ill. en coul.; couv. ill. en coul. Format : 27 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-3-8365-4392-7 Prix : 10,00 € Langues : Français (fre) Catégories : Pop'art
Warhol, Andy (1928-1987)Mots-clés : Peinture Publicité Pop'art Index. décimale : 75 La peinture. CR 75 ABC Résumé :
Andy Warhol (1928-1987) apparaît aujourd'hui comme le représentant le plus important du Pop Art. Observateur critique et créatif de la société américaine, il a exploré des thèmes clés comme le consumérisme, le matérialisme, les médias et la célébrité.
Puisant dans la publicité de son temps, les comics, les produits de consommation courante et les visages les plus célèbres de Hollywood, Warhol a proposé une réévaluation radicale de ce qui constituait le sujet artistique. Une fois passées entre les mains de Warhol, une boîte de soupe en conserve et une bouteille de Coca sont devenus aussi signes du statut d'oeuvre que n'importe quelle nature morte traditionnelle. Dans le même temps, Warhol a redéfini le rôle de l'artiste. Célèbre pour avoir déclaré « je veux être une machine », il effaçait systématiquement sa propre présence en tant qu auteur de l'oeuvre, notamment en recourant à des procédés de fabrication de masse et à la répétition des images, ainsi qu à des cohortes d'assistants avec lesquels il travaillait dans un immense atelier baptisé la Factory.
Ce livre présente l'oeuvre aux multiples facettes du prolifique Warhol qui révolutionna les distinctions entre art « d'en haut » et « d'en bas » en explorant les notions de vie, de production et de consommation, qui demeurent centrales dans notre expérience de la modernité.Andy Warhol, 1928-1987 : de l'art comme commerce [texte imprimé] / Klaus HONNEF (1939-....), Auteur . - Paris : Taschen, cop. 2015 . - 96 p. : ill. en coul.; couv. ill. en coul. ; 27 cm. - (Petite Collection 2.0) .
ISBN : 978-3-8365-4392-7 : 10,00 €
Langues : Français (fre)
Catégories : Pop'art
Warhol, Andy (1928-1987)Mots-clés : Peinture Publicité Pop'art Index. décimale : 75 La peinture. CR 75 ABC Résumé :
Andy Warhol (1928-1987) apparaît aujourd'hui comme le représentant le plus important du Pop Art. Observateur critique et créatif de la société américaine, il a exploré des thèmes clés comme le consumérisme, le matérialisme, les médias et la célébrité.
Puisant dans la publicité de son temps, les comics, les produits de consommation courante et les visages les plus célèbres de Hollywood, Warhol a proposé une réévaluation radicale de ce qui constituait le sujet artistique. Une fois passées entre les mains de Warhol, une boîte de soupe en conserve et une bouteille de Coca sont devenus aussi signes du statut d'oeuvre que n'importe quelle nature morte traditionnelle. Dans le même temps, Warhol a redéfini le rôle de l'artiste. Célèbre pour avoir déclaré « je veux être une machine », il effaçait systématiquement sa propre présence en tant qu auteur de l'oeuvre, notamment en recourant à des procédés de fabrication de masse et à la répétition des images, ainsi qu à des cohortes d'assistants avec lesquels il travaillait dans un immense atelier baptisé la Factory.
Ce livre présente l'oeuvre aux multiples facettes du prolifique Warhol qui révolutionna les distinctions entre art « d'en haut » et « d'en bas » en explorant les notions de vie, de production et de consommation, qui demeurent centrales dans notre expérience de la modernité.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 410000108928 75 WAR Livre documentaire Jardin perdu Adultes Document en bon état Disponible
Titre : Arcimboldo 1526-1593 Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvia FERINO-PAGDEN, Auteur Editeur : Milan : Skira Année de publication : 2007 Importance : 319 p. Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 28 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-88-6130-382-9 Prix : 23, 41 € Langues : Français (fre) Catégories : Arcimboldi, Giuseppe (1527-1593) Mots-clés : Arcimboldo Peinture Peintre Index. décimale : 75 La peinture. CR 75 ABC Résumé :
Giuseppe Arcimboldo, fils de Biagio Arcimboldo, est né en 1526 à Milan. Selon de récentes études, il descendrait non pas de la noble famille des Arcimboldi (ou Arcimboldo, nom sous lequel la famille de l'artiste est généralement connue, dont étaient issus trois archevêques, et dont la pierre tombale est encore visible au dôme de Milan) mais d'une famille homonyme, peintres depuis plusieurs générations. Son père Biagio travailla dès 1518 pour l'office de la Fabbrica du dôme de Milan. Parmi ses amis figurait le peintre milanais Bernardino Luini, disciple de Léonard, avec lequel il entretenait sans doute également des relations professionnelles. Il est donc tout à fait probable que la formation artistique de Giuseppe ait été influencée par Luini. Les premières commandes fermes et rémunérées reçues par Arcimboldo pour le dôme de Milan, dont les documents sont en grande partie perdus aujourd'hui, ne sont attestées qu'à partir de 1549. Jusque vers 1558, il ne perçut de rétribution de la Fabbrica (lu dôme que pour des esquisses de toutes sortes vitraux, baldaquins, armoiries ou encore madones peintes a fresco). Plusieurs sources mentionnent en outre le carton qu'il livra en 560 pour la tapisserie représentant la Dormition de la Vierge, aujourd'hui encore conservée dans la cathédrale de Côme, ainsi que le projet pour la fresque de l'arbre de mie, peinte en collaboration avec Giuseppe Meda dans le transept de la cathédrale de Monza. S'il ne dépassa pas le stade des premières esquisses lors du concours qui eut lieu en 1562 pour la réalisation de la bannière de Sant'Ambrogio, on le retrouve néanmoins au printemps 1563 à Vienne, au service du roi Maximilien II, couronné empereur romain de l'empire germanique l'année suivante. Ses scherzi pleins d'invention, réalisés à partir d'études d'après nature, ainsi que son talent d'organisateur pour la mise en scène de fêtes somptueuses ont. probablement séduit le futur empereur. Les séries des Saisons (1563) et des Eléments (1566) marquent les débuts de la carrière viennoise d'Arcimboldo. Le poème de Giovanni Battista Fonteo qui les interprète comme un panégyrique à la gloire du souverain, nous livre de précieux détails sur leur présentation officielle à l'empereur, le jour du nouvel an 1569. L'énergie qu'exigeait la conception de projets pour les célébrations éphémères, comme par exemple les cortèges des fêtes données en l'honneur du mariage d'Anne, fille de Maximilien, avec. Philippe II, roi d'Espagne, ou de celui de son frère Charles, archiduc de Styrie, avec Marie de Bavière en 1571 à Vienne, et de maintes autres fêtes de couronnements et festivités, absorbait une grande partie des ressources créatives du peintre. Un grand nombre des 150 dessins notamment des costumes qu'il fit parvenir à Rodolphe II en 1585 dans un portfolio de maroquin rouge dédicacé, qui ont été conservés, nous fournit des renseignements sur le mariage de 1571, occasion pour laquelle Fonteo rédigea aussi un poème-manifeste. En 1575, le fils naturel d'Arcimboldo, Benoît, fut légitimé par l'empereur. A la mort de Maximilien II en 1576, son fils, l'empereur Rodolphe II, prit Arcimboldo sous sa protection en qualité d'artiste de cour. Le peintre le suivit vraisemblablement dès 1580 à Prague, date à laquelle il reçut un titre de noblesse. Deux ans plus tard, il fut envoyé en Allemagne pour y examiner des objets d'art et des antiquités, ainsi que des curiosités de la nature dont d'extraordinaires animaux et des oiseaux originaires du Nouveau Monde pour le compte de l'empereur. On faisait donc appel à lui en tant que connaisseur d'art et expert en histoire naturelle et, par là-même, à ses compétences d'acheteur. En 1585, en raison de son âge avancé, Arcimboldo avait demandé à être congédié de la cour. Ce n'est qu'en 1587 qu'il obtint enfin la permission de rentrer à Milan, couvert d'honneurs et après avoir reçu une généreuse gratification pour ses bons et loyaux services, avec la promesse toutefois de poursuivre ses activités en faveur de l'empereur. C'est ainsi que, de retour dans sa ville natale, il acquit divers objets d'art pour le compte de ce dernier et lui fit envoyer de nouveaux tableaux de sa main, dont les célèbres Flore et Vertumne. En signe de reconnaissance, il fut élevé en 1592 au rang de comte palatin. Lors de ses séjours à Vienne et à Prague, Arcimboldo n'est revenu que trois fois à Milan - 1566, 1576 (?) et 1580-1581 - pour expédier des affaires de famille et rédiger son testament. Il est probable qu'il ait, à ces occasions, fréquenté d'anciens artistes et collègues, mais aussi leur cercle d'amis constitué d'humanistes, d'hommes de lettres et d'historiens. Puis. lorsqu'il revint définitivement à Milan, il s'installa avec son fils dans une maison achetée avec l'artiste et poète Giovanni Gherardini et sa famille. Des contemporains et compatriotes lombards, parmi lesquels Ciovan Paolo Lomazzo, Gregorio Comanini et Paolo Morigia, louèrent, dans leurs écrits, ce " prince parmi les peintres ". Il mourut en 1593 d'une infection rénale et l'ut inhumé dans l'église San Pietro alla Vigna.
Arcimboldo 1526-1593 [texte imprimé] / Sylvia FERINO-PAGDEN, Auteur . - Milan : Skira, 2007 . - 319 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 28 cm.
ISBN : 978-88-6130-382-9 : 23, 41 €
Langues : Français (fre)
Catégories : Arcimboldi, Giuseppe (1527-1593) Mots-clés : Arcimboldo Peinture Peintre Index. décimale : 75 La peinture. CR 75 ABC Résumé :
Giuseppe Arcimboldo, fils de Biagio Arcimboldo, est né en 1526 à Milan. Selon de récentes études, il descendrait non pas de la noble famille des Arcimboldi (ou Arcimboldo, nom sous lequel la famille de l'artiste est généralement connue, dont étaient issus trois archevêques, et dont la pierre tombale est encore visible au dôme de Milan) mais d'une famille homonyme, peintres depuis plusieurs générations. Son père Biagio travailla dès 1518 pour l'office de la Fabbrica du dôme de Milan. Parmi ses amis figurait le peintre milanais Bernardino Luini, disciple de Léonard, avec lequel il entretenait sans doute également des relations professionnelles. Il est donc tout à fait probable que la formation artistique de Giuseppe ait été influencée par Luini. Les premières commandes fermes et rémunérées reçues par Arcimboldo pour le dôme de Milan, dont les documents sont en grande partie perdus aujourd'hui, ne sont attestées qu'à partir de 1549. Jusque vers 1558, il ne perçut de rétribution de la Fabbrica (lu dôme que pour des esquisses de toutes sortes vitraux, baldaquins, armoiries ou encore madones peintes a fresco). Plusieurs sources mentionnent en outre le carton qu'il livra en 560 pour la tapisserie représentant la Dormition de la Vierge, aujourd'hui encore conservée dans la cathédrale de Côme, ainsi que le projet pour la fresque de l'arbre de mie, peinte en collaboration avec Giuseppe Meda dans le transept de la cathédrale de Monza. S'il ne dépassa pas le stade des premières esquisses lors du concours qui eut lieu en 1562 pour la réalisation de la bannière de Sant'Ambrogio, on le retrouve néanmoins au printemps 1563 à Vienne, au service du roi Maximilien II, couronné empereur romain de l'empire germanique l'année suivante. Ses scherzi pleins d'invention, réalisés à partir d'études d'après nature, ainsi que son talent d'organisateur pour la mise en scène de fêtes somptueuses ont. probablement séduit le futur empereur. Les séries des Saisons (1563) et des Eléments (1566) marquent les débuts de la carrière viennoise d'Arcimboldo. Le poème de Giovanni Battista Fonteo qui les interprète comme un panégyrique à la gloire du souverain, nous livre de précieux détails sur leur présentation officielle à l'empereur, le jour du nouvel an 1569. L'énergie qu'exigeait la conception de projets pour les célébrations éphémères, comme par exemple les cortèges des fêtes données en l'honneur du mariage d'Anne, fille de Maximilien, avec. Philippe II, roi d'Espagne, ou de celui de son frère Charles, archiduc de Styrie, avec Marie de Bavière en 1571 à Vienne, et de maintes autres fêtes de couronnements et festivités, absorbait une grande partie des ressources créatives du peintre. Un grand nombre des 150 dessins notamment des costumes qu'il fit parvenir à Rodolphe II en 1585 dans un portfolio de maroquin rouge dédicacé, qui ont été conservés, nous fournit des renseignements sur le mariage de 1571, occasion pour laquelle Fonteo rédigea aussi un poème-manifeste. En 1575, le fils naturel d'Arcimboldo, Benoît, fut légitimé par l'empereur. A la mort de Maximilien II en 1576, son fils, l'empereur Rodolphe II, prit Arcimboldo sous sa protection en qualité d'artiste de cour. Le peintre le suivit vraisemblablement dès 1580 à Prague, date à laquelle il reçut un titre de noblesse. Deux ans plus tard, il fut envoyé en Allemagne pour y examiner des objets d'art et des antiquités, ainsi que des curiosités de la nature dont d'extraordinaires animaux et des oiseaux originaires du Nouveau Monde pour le compte de l'empereur. On faisait donc appel à lui en tant que connaisseur d'art et expert en histoire naturelle et, par là-même, à ses compétences d'acheteur. En 1585, en raison de son âge avancé, Arcimboldo avait demandé à être congédié de la cour. Ce n'est qu'en 1587 qu'il obtint enfin la permission de rentrer à Milan, couvert d'honneurs et après avoir reçu une généreuse gratification pour ses bons et loyaux services, avec la promesse toutefois de poursuivre ses activités en faveur de l'empereur. C'est ainsi que, de retour dans sa ville natale, il acquit divers objets d'art pour le compte de ce dernier et lui fit envoyer de nouveaux tableaux de sa main, dont les célèbres Flore et Vertumne. En signe de reconnaissance, il fut élevé en 1592 au rang de comte palatin. Lors de ses séjours à Vienne et à Prague, Arcimboldo n'est revenu que trois fois à Milan - 1566, 1576 (?) et 1580-1581 - pour expédier des affaires de famille et rédiger son testament. Il est probable qu'il ait, à ces occasions, fréquenté d'anciens artistes et collègues, mais aussi leur cercle d'amis constitué d'humanistes, d'hommes de lettres et d'historiens. Puis. lorsqu'il revint définitivement à Milan, il s'installa avec son fils dans une maison achetée avec l'artiste et poète Giovanni Gherardini et sa famille. Des contemporains et compatriotes lombards, parmi lesquels Ciovan Paolo Lomazzo, Gregorio Comanini et Paolo Morigia, louèrent, dans leurs écrits, ce " prince parmi les peintres ". Il mourut en 1593 d'une infection rénale et l'ut inhumé dans l'église San Pietro alla Vigna.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 410000108444 75 ARC Livre documentaire Jardin perdu Adultes Document en bon état Disponible
Titre : Art, 40 grands peintres Type de document : texte imprimé Auteurs : Béatrice FONTANEL (1957-....), Auteur ; Matteo BERTON, Illustrateur Editeur : Paris : Gallimard Jeunesse Année de publication : 2023 Collection : Bam ! Importance : [96] p. Présentation : ill. en coul.; couv. ill. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-512208-5 Prix : 13 € Langues : Français (fre) Index. décimale : 75 La peinture. CR 75 ABC Résumé :
Léonard de Vinci, Velasquez, Rembrandt, Goya, Picasso, Hopper, Warhol, Vigée Le Brun, Matisse, Basquiat... Pour chaque artiste, l'ouvrage présente une oeuvre iconique, les faits historiques et les anecdotes qui font de ces peintures des références universelles.
Art, 40 grands peintres [texte imprimé] / Béatrice FONTANEL (1957-....), Auteur ; Matteo BERTON, Illustrateur . - Paris : Gallimard Jeunesse, 2023 . - [96] p. : ill. en coul.; couv. ill. ; 19 cm. - (Bam !) .
ISBN : 978-2-07-512208-5 : 13 €
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 75 La peinture. CR 75 ABC Résumé :
Léonard de Vinci, Velasquez, Rembrandt, Goya, Picasso, Hopper, Warhol, Vigée Le Brun, Matisse, Basquiat... Pour chaque artiste, l'ouvrage présente une oeuvre iconique, les faits historiques et les anecdotes qui font de ces peintures des références universelles.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 410000092467 75 Livre documentaire Jardin perdu Jeunesse Document en bon état Disponible
Titre : L'art du bout des doigts : Des tableaux, des histoires... Type de document : texte imprimé Auteurs : Annick de GIRY, Auteur Editeur : Paris : Seuil Jeunesse Année de publication : 2016 Importance : [n.p.] Présentation : ill. coul., couv. ill. coul. Format : 25 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-235-0588-7 Langues : Français (fre) Catégories : Art -- Ouvrages pour la jeunesse
Peinture -- Ouvrages pour la jeunesseIndex. décimale : 75 La peinture. CR 75 ABC Résumé :
Dans cet ouvrage, Annick de Giry "décompose" cinq oeuvres d'art. En page de gauche : le tableau, dont certaines parties sont masquées, et un court commentaire qui attire l'attention du lecteur sur des détails de l'image. En page de droite, des consignes sont données aux lecteurs, lui proposant par exemple d'imiter les postures des personnages peints, ou de toucher un objet dans l'image. Une fois l'action accomplie et la page tournée, l'enfant découvre un nouvel élément du tableau. Au fil des pages, l'oeuvre est reconstituée et nous entrons ainsi dans les secrets de sa réalisation. Un ouvrage pour voir autrement cinq tableaux de maîtres, de la Renaissance à l'aube de l'impressionnisme.
L'art du bout des doigts : Des tableaux, des histoires... [texte imprimé] / Annick de GIRY, Auteur . - Paris : Seuil Jeunesse, 2016 . - [n.p.] : ill. coul., couv. ill. coul. ; 25 cm.
ISBN : 979-10-235-0588-7
Langues : Français (fre)
Catégories : Art -- Ouvrages pour la jeunesse
Peinture -- Ouvrages pour la jeunesseIndex. décimale : 75 La peinture. CR 75 ABC Résumé :
Dans cet ouvrage, Annick de Giry "décompose" cinq oeuvres d'art. En page de gauche : le tableau, dont certaines parties sont masquées, et un court commentaire qui attire l'attention du lecteur sur des détails de l'image. En page de droite, des consignes sont données aux lecteurs, lui proposant par exemple d'imiter les postures des personnages peints, ou de toucher un objet dans l'image. Une fois l'action accomplie et la page tournée, l'enfant découvre un nouvel élément du tableau. Au fil des pages, l'oeuvre est reconstituée et nous entrons ainsi dans les secrets de sa réalisation. Un ouvrage pour voir autrement cinq tableaux de maîtres, de la Renaissance à l'aube de l'impressionnisme.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 410000118027 75 Livre documentaire Boncelles Jeunesse Document en bon état Disponible PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalink