Titre : |
Songe de cèdre |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Anna Laura RUCINSKA, Auteur ; Krystyna BOURNEUF, Traducteur |
Editeur : |
Bruxelles : F. Deville |
Année de publication : |
2021 |
Importance : |
359 p. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-87599-047-1 |
Prix : |
20 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
884-3 Roman traduit de la langue polonaise |
Résumé : |
Songe de cèdre nous entraîne à suivre deux générations de femmes libanaises, mère et fille, entravées par les traditions du Moyen-Orient et la guerre civile. Leurs destins se frottent à d’autres cultures et d’autres pays, de la Côte d’Ivoire à Paris. ― Et comment était votre vie, Marviaâ? Votre vie au quotidien, en dehors de la politique. ― En dehors de la politiqueâ? Mais on ne peut pas séparer notre vie de la politique, puisque nous en sommes les victimes. ― Vous voulez bien me raconter vos souvenirs depuis le débutâ? ― C’était notre Belle Époque. Beyrouth était magnifique. J’étais venue étudier à l’école d’infirmières. C’était le début de la guerre, j’étais jeune avec tant de projets pour l’avenir. Soudain, en quelques heures, tout devient impossible. Personne n’était préparé à ce qui allait se passer. Dans les rues, des gens se battaient. On ne savait même pas qui luttait contre qui, c’était la confusion la plus totale. |
Songe de cèdre [texte imprimé] / Anna Laura RUCINSKA, Auteur ; Krystyna BOURNEUF, Traducteur . - Bruxelles : F. Deville, 2021 . - 359 p. ; 21 cm. ISBN : 978-2-87599-047-1 : 20 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
884-3 Roman traduit de la langue polonaise |
Résumé : |
Songe de cèdre nous entraîne à suivre deux générations de femmes libanaises, mère et fille, entravées par les traditions du Moyen-Orient et la guerre civile. Leurs destins se frottent à d’autres cultures et d’autres pays, de la Côte d’Ivoire à Paris. ― Et comment était votre vie, Marviaâ? Votre vie au quotidien, en dehors de la politique. ― En dehors de la politiqueâ? Mais on ne peut pas séparer notre vie de la politique, puisque nous en sommes les victimes. ― Vous voulez bien me raconter vos souvenirs depuis le débutâ? ― C’était notre Belle Époque. Beyrouth était magnifique. J’étais venue étudier à l’école d’infirmières. C’était le début de la guerre, j’étais jeune avec tant de projets pour l’avenir. Soudain, en quelques heures, tout devient impossible. Personne n’était préparé à ce qui allait se passer. Dans les rues, des gens se battaient. On ne savait même pas qui luttait contre qui, c’était la confusion la plus totale. |
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