Titre : |
Les mots pour le dire |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Marie, née Simone Odette Marie-Thérèse Cardinal CARDINAL (1928-2001), Auteur |
Editeur : |
Paris : Librairie Générale Française |
Année de publication : |
1977-1992 |
Collection : |
Le Livre de Poche num. 4887 |
Importance : |
279 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
17 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-253-01559-8 |
Prix : |
5.05 E |
Note générale : |
Prix Littré 1976 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
PSYCHANALYSE TEMOIGNAGE |
Index. décimale : |
840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. |
Résumé : |
Un de ces romans qui agrippent, fascinent, ne vous laissent de repos que lorsque vous posez les yeux sur les derniers mots. Il s'ouvre sur une sombre impasse pavée que la narratrice arpente trois fois par semaine, au rythme de l'analyse qu'elle décide d'entreprendre. Sa détresse est telle que les médecins et leurs prescriptions ne peuvent, n'ont jamais rien pu pour elle. La solution est ailleurs, dans les méandres de son passé qu'elle se décide à forer, au risque d'endurer au début des souffrances plus dévastatrices, semble-t-il, que le mal. Alors, peu à peu filtre la lumière. Celle que la conscience met à jour, réduisant l'angoisse, anémiant la névrose, acculant le silence aux mots. |
Les mots pour le dire [texte imprimé] / Marie, née Simone Odette Marie-Thérèse Cardinal CARDINAL (1928-2001), Auteur . - Paris : Librairie Générale Française, 1977-1992 . - 279 p. : couv. ill. ; 17 cm. - ( Le Livre de Poche; 4887) . ISBN : 978-2-253-01559-8 : 5.05 E Prix Littré 1976 Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
PSYCHANALYSE TEMOIGNAGE |
Index. décimale : |
840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. |
Résumé : |
Un de ces romans qui agrippent, fascinent, ne vous laissent de repos que lorsque vous posez les yeux sur les derniers mots. Il s'ouvre sur une sombre impasse pavée que la narratrice arpente trois fois par semaine, au rythme de l'analyse qu'elle décide d'entreprendre. Sa détresse est telle que les médecins et leurs prescriptions ne peuvent, n'ont jamais rien pu pour elle. La solution est ailleurs, dans les méandres de son passé qu'elle se décide à forer, au risque d'endurer au début des souffrances plus dévastatrices, semble-t-il, que le mal. Alors, peu à peu filtre la lumière. Celle que la conscience met à jour, réduisant l'angoisse, anémiant la névrose, acculant le silence aux mots. |
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