Titre : |
Kaboul beauté institut |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Frishta AMINI (1998-.....), Auteur ; Anne CHAON, Auteur |
Editeur : |
Neuilly-sur-Seine : Michel Lafon |
Année de publication : |
DL 2023 |
Importance : |
207 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
23 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7499-5487-5 |
Prix : |
19,00 € |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Afgnasistan Féminité Beauté |
Index. décimale : |
840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. |
Résumé : |
Femmes afghanes, entre survie et résistance
Nous sommes le 15 août 2021. Frishta, jeune esthéticienne, travaille dans l'un des derniers salons de beauté de la capitale afghane qui, dès lors, va continuer de recevoir ses clientes dans une semi-clandestinité. Ces femmes, considérées par les autorités religieuses comme des êtres inférieurs, s'offrent l'impossible : assumer leur féminité. Et derrière les tentures de velours, elles dansent, chantent et rient malgré les larmes d'une vie broyée. Le salon est une lumière dans l'obscurantisme, mais elle faiblit jour après jour, Frishta l'a bien compris. Alors elle part, pour fuir l'avenir sombre qui la guette, s'arrachant des bras aimants de sa mère ; c'est le prix de sa liberté. |
Kaboul beauté institut [texte imprimé] / Frishta AMINI (1998-.....), Auteur ; Anne CHAON, Auteur . - Neuilly-sur-Seine : Michel Lafon, DL 2023 . - 207 p. : couv. ill. en coul. ; 23 cm. ISBN : 978-2-7499-5487-5 : 19,00 € Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Afgnasistan Féminité Beauté |
Index. décimale : |
840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. |
Résumé : |
Femmes afghanes, entre survie et résistance
Nous sommes le 15 août 2021. Frishta, jeune esthéticienne, travaille dans l'un des derniers salons de beauté de la capitale afghane qui, dès lors, va continuer de recevoir ses clientes dans une semi-clandestinité. Ces femmes, considérées par les autorités religieuses comme des êtres inférieurs, s'offrent l'impossible : assumer leur féminité. Et derrière les tentures de velours, elles dansent, chantent et rient malgré les larmes d'une vie broyée. Le salon est une lumière dans l'obscurantisme, mais elle faiblit jour après jour, Frishta l'a bien compris. Alors elle part, pour fuir l'avenir sombre qui la guette, s'arrachant des bras aimants de sa mère ; c'est le prix de sa liberté. |
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