Titre : |
Mississippi Blues |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Michel LAUWERS (1963-....), Auteur belge |
Editeur : |
Averbode : Averbode |
Année de publication : |
cop. 2005 |
Collection : |
7 en poche num. 2 |
Importance : |
88 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
20 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-90-317-2440-6 |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840(493)-32 Nouvelle belge de langue française. CR 8-3 |
Résumé : |
Autour de lui, tout était électrique : les instruments et la musique qu'ils diffusaient, les gestes des couples sur la piste, les regards qu'on lui jetait, l'air surchauffé, le plancher qu'on sentait tressauter sous ses pieds, l'ambiance qu'on imaginait pouvoir toucher du doigt tant elle était forte, puissante, imposante. C'était comme une grande vague qui aurait déferlé sur la côte, submergeant inexorablement tous les nageurs...
La musique est au cœurs de ces trois nouvelles qui nous transportent sur un autre continent, à une époque révolue et pourtant pas si lointaine. Les Noirs n'avaient alors aucun droit ou si peu... Puis les Blancs entendirent parler de leur musique et les choses changèrent... Un peu. |
Mississippi Blues [texte imprimé] / Michel LAUWERS (1963-....), Auteur belge . - Averbode : Averbode, cop. 2005 . - 88 p. : couv. ill. en coul. ; 20 cm. - ( 7 en poche; 2) . ISBN : 978-90-317-2440-6 Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840(493)-32 Nouvelle belge de langue française. CR 8-3 |
Résumé : |
Autour de lui, tout était électrique : les instruments et la musique qu'ils diffusaient, les gestes des couples sur la piste, les regards qu'on lui jetait, l'air surchauffé, le plancher qu'on sentait tressauter sous ses pieds, l'ambiance qu'on imaginait pouvoir toucher du doigt tant elle était forte, puissante, imposante. C'était comme une grande vague qui aurait déferlé sur la côte, submergeant inexorablement tous les nageurs...
La musique est au cœurs de ces trois nouvelles qui nous transportent sur un autre continent, à une époque révolue et pourtant pas si lointaine. Les Noirs n'avaient alors aucun droit ou si peu... Puis les Blancs entendirent parler de leur musique et les choses changèrent... Un peu. |
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