Titre : |
Don juan : pièce en trois actes et quatre tableaux |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Charles (Belge) BERTIN (1919-2002), Auteur ; Claude ETIENNE, Préfacier, etc. |
Editeur : |
Bruxelles : Labor |
Année de publication : |
1988 |
Collection : |
Espace Nord Labor num. 48 |
Importance : |
133 p. |
Présentation : |
ill., couv. ill. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-8040-0353-1 |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-2 Pièce de théâtre de langue française. |
Résumé : |
Ecrit en 1946, créé l'année suivante par la radio française, puis, dès 1948, par le Théâtre du Parc, remanié pour sa réédition en 1964, le Don Juan de Charles Bertin a toujours provoqué l'admiration de la presse et du public. Par la maîtrise de sa dramaturgie, cette pièce atteint à la sobriété froide et rigoureuse qui est la marque des meilleures réalisations de l'esthétique néoclassique belge de l'après-guerre. Porte-parole du pessimisme anxieux de l'auteur, le héros baroque incarne ici un personnage auquel la puissance de son regard donne l'illusion, sans cesse perdue, sans cesse de conquérir, d'être Dieu... |
Don juan : pièce en trois actes et quatre tableaux [texte imprimé] / Charles (Belge) BERTIN (1919-2002), Auteur ; Claude ETIENNE, Préfacier, etc. . - Bruxelles : Labor, 1988 . - 133 p. : ill., couv. ill. ; 18 cm. - ( Espace Nord Labor; 48) . ISBN : 978-2-8040-0353-1 Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-2 Pièce de théâtre de langue française. |
Résumé : |
Ecrit en 1946, créé l'année suivante par la radio française, puis, dès 1948, par le Théâtre du Parc, remanié pour sa réédition en 1964, le Don Juan de Charles Bertin a toujours provoqué l'admiration de la presse et du public. Par la maîtrise de sa dramaturgie, cette pièce atteint à la sobriété froide et rigoureuse qui est la marque des meilleures réalisations de l'esthétique néoclassique belge de l'après-guerre. Porte-parole du pessimisme anxieux de l'auteur, le héros baroque incarne ici un personnage auquel la puissance de son regard donne l'illusion, sans cesse perdue, sans cesse de conquérir, d'être Dieu... |
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