| Titre : |
Le malade imaginaire |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
né Jean-Baptiste Poquelin MOLIERE (1622-1673), Auteur ; Bénédicte LOUVAT-MOLOZAY, Annotateur |
| Editeur : |
Paris : Librairie Générale Française |
| Année de publication : |
2012 |
| Collection : |
Le Livre de Poche |
| Sous-collection : |
Théâtre de poche num. 6135 |
| Importance : |
233 p. |
| Présentation : |
couv. ill. en coul. |
| Format : |
18 cm. |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-253-08886-8 |
| Prix : |
2€ |
| Langues : |
Français (fre) |
| Index. décimale : |
840-2 Pièce de théâtre de langue française. |
| Résumé : |
Assis seul, Argan détaille des factures d'apothicaire lorsque Toinette, sa servante, entre dans sa chambre. Il l'interroge sur son lavement, demande s'il a bien fait de la bile, à quoi Toinette répond qu'elle ne se mêle point de ces affaires-là. Consciente que les maux de son maître sont imaginaires, elle ne se prive pas d'ajouter que, pour son médecin et son apothicaire, il n'est rien d'autre qu'une « bonne vache à lait ». Molière lui-même joue le personnage d’Argan le 10 février 1673, lors de la création de sa pièce au théâtre du Palais-Royal, et meurt sept jours plus tard, à l’issue de la quatrième représentation. De cette « comédie mêlée de musique et de danses » où son œuvre s’achève, c’est la puissance comique qui, bien sûr, a fait la fortune. Mais c’est aussi une pièce à thèse : le dramaturge ne se moque pas seulement des médecins de son temps, mais après Le Tartuffe, il dénonce plus profondément en eux de nouveaux imposteurs.
|
Le malade imaginaire [texte imprimé] / né Jean-Baptiste Poquelin MOLIERE (1622-1673), Auteur ; Bénédicte LOUVAT-MOLOZAY, Annotateur . - Paris : Librairie Générale Française, 2012 . - 233 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm.. - ( Le Livre de Poche. Théâtre de poche; 6135) . ISBN : 978-2-253-08886-8 : 2€ Langues : Français ( fre)
| Index. décimale : |
840-2 Pièce de théâtre de langue française. |
| Résumé : |
Assis seul, Argan détaille des factures d'apothicaire lorsque Toinette, sa servante, entre dans sa chambre. Il l'interroge sur son lavement, demande s'il a bien fait de la bile, à quoi Toinette répond qu'elle ne se mêle point de ces affaires-là. Consciente que les maux de son maître sont imaginaires, elle ne se prive pas d'ajouter que, pour son médecin et son apothicaire, il n'est rien d'autre qu'une « bonne vache à lait ». Molière lui-même joue le personnage d’Argan le 10 février 1673, lors de la création de sa pièce au théâtre du Palais-Royal, et meurt sept jours plus tard, à l’issue de la quatrième représentation. De cette « comédie mêlée de musique et de danses » où son œuvre s’achève, c’est la puissance comique qui, bien sûr, a fait la fortune. Mais c’est aussi une pièce à thèse : le dramaturge ne se moque pas seulement des médecins de son temps, mais après Le Tartuffe, il dénonce plus profondément en eux de nouveaux imposteurs.
|
|