Titre : |
Coccinelle |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Florence BELKACEM, Auteur |
Editeur : |
Paris : Le Cherche midi |
Année de publication : |
impr. 2020 |
Importance : |
136 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
22 cm. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7491-6410-6 |
Prix : |
17.75€ |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Deuil Mort Récits personnels
|
Mots-clés : |
deuil mort parent mère signes |
Index. décimale : |
840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. |
Résumé : |
Dehors, il fait 5 °C, le temps est gris et venteux. Dans un instant, le prêtre va célébrer la messe d'enterrement de maman. Une coccinelle se pose sur ma main. D'où vient-elle, en ce mois de janvier ? Quelques semaines plus tard, une deuxième coccinelle surgira, et d'autres encore... J'aimerais imaginer que c'est maman qui se manifeste, et, pourtant, le doute m'assaille. La prudence voudrait que je n'y croie pas, mais, au fil du temps, de nouveaux signes - un papillon, une biche, une bague...
- m'entraînent dans un monde parallèle. Comme si les êtres disparus n'abandonnaient pas leurs proches et continuaient à les aider. Saint Augustin et Victor Hugo auraient-ils raison : les morts seraient-ils "des invisibles, mais pas des absents" ? |
Coccinelle [texte imprimé] / Florence BELKACEM, Auteur . - Paris : Le Cherche midi, impr. 2020 . - 136 p. : couv. ill. en coul. ; 22 cm. ISBN : 978-2-7491-6410-6 : 17.75€ Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Deuil Mort Récits personnels
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Mots-clés : |
deuil mort parent mère signes |
Index. décimale : |
840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. |
Résumé : |
Dehors, il fait 5 °C, le temps est gris et venteux. Dans un instant, le prêtre va célébrer la messe d'enterrement de maman. Une coccinelle se pose sur ma main. D'où vient-elle, en ce mois de janvier ? Quelques semaines plus tard, une deuxième coccinelle surgira, et d'autres encore... J'aimerais imaginer que c'est maman qui se manifeste, et, pourtant, le doute m'assaille. La prudence voudrait que je n'y croie pas, mais, au fil du temps, de nouveaux signes - un papillon, une biche, une bague...
- m'entraînent dans un monde parallèle. Comme si les êtres disparus n'abandonnaient pas leurs proches et continuaient à les aider. Saint Augustin et Victor Hugo auraient-ils raison : les morts seraient-ils "des invisibles, mais pas des absents" ? |
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