Titre : |
La bête est revenue : été de plomb en Auvergne |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jérôme MAUFRAS (1973-....), Auteur |
Editeur : |
Gudensberg-Gleichen : Wartberg |
Année de publication : |
2015 |
Collection : |
Zones noires |
Importance : |
201 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
20 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-3-8313-2830-7 |
Prix : |
10.90 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Eté 1963. Une série d'agressions sexuelles et de meurtres endeuillent la vallée du Mars dans le Cantal. Une mystérieuse bête est rapidement désignée coupable par la vindicte populaire. Elle est abattue quelques mois plus tard. Bon an mal an, la vie dans la région reprend son cours. Eté 1983. En pleine saison touristique, la tranquille bourgade de Mauriac est secouée par une série d'agressions. A chaque fois, des jeunes femmes blondes sont visées. A chaque fois, l'agression s'arrête avant le viol. A chaque fois, les victimes décrivent leur agresseur comme une créature mi-bête, mi-homme. Pour beaucoup d'habitants, il faut se ranger à l'évidence : la bête est revenue. Ce n'est pas l'avis de Gabriel Garelli. |
La bête est revenue : été de plomb en Auvergne [texte imprimé] / Jérôme MAUFRAS (1973-....), Auteur . - Gudensberg-Gleichen : Wartberg, 2015 . - 201 p. : couv. ill. en coul. ; 20 cm. - ( Zones noires) . ISBN : 978-3-8313-2830-7 : 10.90 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Eté 1963. Une série d'agressions sexuelles et de meurtres endeuillent la vallée du Mars dans le Cantal. Une mystérieuse bête est rapidement désignée coupable par la vindicte populaire. Elle est abattue quelques mois plus tard. Bon an mal an, la vie dans la région reprend son cours. Eté 1983. En pleine saison touristique, la tranquille bourgade de Mauriac est secouée par une série d'agressions. A chaque fois, des jeunes femmes blondes sont visées. A chaque fois, l'agression s'arrête avant le viol. A chaque fois, les victimes décrivent leur agresseur comme une créature mi-bête, mi-homme. Pour beaucoup d'habitants, il faut se ranger à l'évidence : la bête est revenue. Ce n'est pas l'avis de Gabriel Garelli. |
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