Titre : |
Le tour d'écrou |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Henry JAMES (1843-1916), Auteur ; Monique NEMER, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Librairie Générale Française |
Année de publication : |
DL 2014 |
Collection : |
Le Livre de Poche |
Sous-collection : |
Biblio num. 32862 |
Importance : |
209 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-253-08929-2 |
Prix : |
6,75€ |
Note générale : |
Chronologie |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
820(73)-3 Roman américain traduit de la langue anglaise. (ou roman américain de langue anglaise avec CR 820(73)-3). |
Résumé : |
Le huis clos d’une vieille demeure dans la campagne anglaise. Les lumières et les ombres d’un été basculant vers l’automne. Dans le parc, quatre silhouettes – l’intendante de la maison, deux enfants nimbés de toute la grâce de l’innocence, l’institutrice à qui les a confiés un tuteur désinvolte et lointain. Quatre... ou six ? Que sont Quint et Miss Jessel ? Les fantômes de serviteurs dépravés qui veulent attirer dans leurs rets les chérubins envoûtés ? Ou les fantasmes d’une jeune fille aux rêveries nourries de romanesque désuet ? De la littérature, Borgès disait que c’est « un jardin aux sentiers qui bifurquent ». Le Tour d’écrou n’en a pas fini d’égarer ses lecteurs. |
Le tour d'écrou [texte imprimé] / Henry JAMES (1843-1916), Auteur ; Monique NEMER, Traducteur . - Paris : Librairie Générale Française, DL 2014 . - 209 p.. - ( Le Livre de Poche. Biblio; 32862) . ISBN : 978-2-253-08929-2 : 6,75€ Chronologie Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
820(73)-3 Roman américain traduit de la langue anglaise. (ou roman américain de langue anglaise avec CR 820(73)-3). |
Résumé : |
Le huis clos d’une vieille demeure dans la campagne anglaise. Les lumières et les ombres d’un été basculant vers l’automne. Dans le parc, quatre silhouettes – l’intendante de la maison, deux enfants nimbés de toute la grâce de l’innocence, l’institutrice à qui les a confiés un tuteur désinvolte et lointain. Quatre... ou six ? Que sont Quint et Miss Jessel ? Les fantômes de serviteurs dépravés qui veulent attirer dans leurs rets les chérubins envoûtés ? Ou les fantasmes d’une jeune fille aux rêveries nourries de romanesque désuet ? De la littérature, Borgès disait que c’est « un jardin aux sentiers qui bifurquent ». Le Tour d’écrou n’en a pas fini d’égarer ses lecteurs. |
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