Titre : |
Tandis que j'agonise |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
William FAULKNER (1897-1962), Auteur ; Maurice-Edgar COINDREAU (1892-1990), Traducteur ; Valery LARBAUD, Préfacier, etc. ; Michel GRESSET (1938-2005), Auteur de la postface, du colophon, etc. |
Mention d'édition : |
Nouv. éd. revue |
Editeur : |
Paris : Gallimard |
Année de publication : |
impr. 2008 |
Collection : |
Folio num. 307 |
Importance : |
254 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-036307-0 |
Prix : |
5.50 E |
Note générale : |
Trad. de : "As I lay dying" |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Américain (ame) |
Index. décimale : |
820(73)-3 Roman américain traduit de la langue anglaise. (ou roman américain de langue anglaise avec CR 820(73)-3). |
Résumé : |
«Je lui avais dit de ne pas amener ce cheval, par respect pour sa défunte mère, parce que ça n'a pas bonne façon de le voir caracoler ainsi sur ce sacré cheval de cirque, alors qu'elle voulait que nous soyons tous avec elle dans la charrette, tous ceux de sa chair et de son sang ; mais, nous n'avions pas plus tôt dépassé le chemin de Tull que Darl s'est mis à rire. Assis sur la banquette avec Cash, avec sa mère couchée sous ses pieds, dans son cercueil, il a eu l'effronterie de rire!» |
Tandis que j'agonise [texte imprimé] / William FAULKNER (1897-1962), Auteur ; Maurice-Edgar COINDREAU (1892-1990), Traducteur ; Valery LARBAUD, Préfacier, etc. ; Michel GRESSET (1938-2005), Auteur de la postface, du colophon, etc. . - Nouv. éd. revue . - Paris : Gallimard, impr. 2008 . - 254 p. : couv. ill. ; 18 cm. - ( Folio; 307) . ISBN : 978-2-07-036307-0 : 5.50 E Trad. de : "As I lay dying" Langues : Français ( fre) Langues originales : Américain ( ame)
Index. décimale : |
820(73)-3 Roman américain traduit de la langue anglaise. (ou roman américain de langue anglaise avec CR 820(73)-3). |
Résumé : |
«Je lui avais dit de ne pas amener ce cheval, par respect pour sa défunte mère, parce que ça n'a pas bonne façon de le voir caracoler ainsi sur ce sacré cheval de cirque, alors qu'elle voulait que nous soyons tous avec elle dans la charrette, tous ceux de sa chair et de son sang ; mais, nous n'avions pas plus tôt dépassé le chemin de Tull que Darl s'est mis à rire. Assis sur la banquette avec Cash, avec sa mère couchée sous ses pieds, dans son cercueil, il a eu l'effronterie de rire!» |
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